Alkar (Averell288) (bien)

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (habile), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une armure de mailles, épée simple en bronze, cheval (Ouragan), arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 12715 pièces d’or.
Voilà, je profite de ce message de rectification de ma carte pour m'excuser pour ma dernière mission... C'est vrai que j'ai pas fait intervenir beaucoup d'ennemis mais je dis quand même dans le combat final que les gobelins deviennent très nombreux m'enfin... J'aurais dû faire un combat plus impressionnant... Mais je tiens quand-même à dire que la mission ne m'inspirait pas trop... Une immense territoire hostile où se cachent des ennemis en nombre important et inconnu... Alors, j'ai essayé de faire le truc qui me paraissait le plus prudent pour mes soldats : une grosse charge qui prendrait les ennemis par surprise et nous permettrait de tuer le roi en croisant un minimum de gobelins...

Je tenais juste à justifier mes choix, c'est tout... Voilà, c'est fait... Merci pour votre attention...

Il faut toujours se justifier ^^

Bien, je voudrais vendre mon épée simple en bronze. J'attends ton prix Loki... Cependant, je voudrais me réserver le droit de ne pas la vendre dans mes histoires mais de m'en séparer par un autre moyen, en l'offrant à un de mes hommes par exemple. De toute façon pour mon personnage, ça revient au même puisqu'il ne l'aura plus. Dis-moi si ce que je propose te convient Loki, s'il-te-plaît, et donne-moi ton prix si tu acceptes. Sinon, dis-moi ce que tu veux que je fasse.

Pas bête comme idée... J'avais jamais pensé à offrir mes veilles armes à quelqu'un !

je te la prend pour 800 po... après la manière dont tu vas dire comment tu t'en debarasse, j'en ai rien à foutre, tant que tu l'utilises plus.

C'est bien ce que je pensais. Merci beaucoup Loki ! Je mets ma carte à jour...

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (habile), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une cotte de mailles, cheval (Ouragan), arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 13515 pièces d’or.

Ta pas de mission en cour?

Si : les hommes sauvages dans le pays de Dun...

Ok, ben hâte de voir ^^

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (habile), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une cotte de mailles, cheval (Ouragan), arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 13565 pièces d’or.

tu as bcp d'argent averell ! tu t'acheretais pas un beau truc ?

Moi j'ai 3500 or mdr

Et voilà la mission des hommes sauvages. Je la laisse à ton appréciation Loki.

Présentation :

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (habile), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une cotte de mailles, cheval (Ouragan), arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 13515 pièces d’or.

Mission donnée par Loki :

En rentrant des Montagnes Bleues, tu fais une halte dans un village d'hommes, non loin du Pays de Dun. Là on te demande de l'aide. Un camp d'hommes sauvages de Dun lance des raids sur la région. Détruis ce camp, et extermine ses occupants.

Bien :-toi et tes hommes

Mal :-450 épéistes sauvages (épée, casque en cuir, armure en cuir, bouclier en cuir, couteau et hachettes)
-200 archers sauvages (arc en bois, armure en cuir, couteaux)
-150 lanciers sauvages (lance en bronze, cuirasse en fer, couteaux).

Histoire :

Je suis fatigué. Cela fait maintenant deux bonnes semaines que nous avons quitté l’Angmar et les nains des Montagnes Bleues. Nous venons de passer le Flot Gris, et sommes entrés dans le pays de Dun. Je compte y faire une petite escale pour que mes soldats et moi puissions nous reposer.
Au début de l’après-midi, nous entrons dans un village. J’essaie de repérer des hommes qui pourraient nous indiquer un lieu où nous arrêter mais les rues sont désertes. Nous continuons jusqu’à la place du village mais là encore, pas âme qui vive. Ralan se glisse à mes côtés et m’interroge :
« Ils auraient été attaqués ?
- C’est possible. Ce pays regorge d’hommes sauvages. »
Je fais signe à ma troupe d’avancer encore vers l’Est. Après quelques dizaines de mètres, des cris nous parviennent. Je lance Ouragan au galop et mes hommes forcent l’allure. Les cris s’intensifient. Je dégaine mon épée, saisis mon bouclier et tourne au coin d’une maison. Là, je découvre la raison du tapage. Des paysans essaient de résister à un assaut d’hommes sauvages derrière une barricade. Je ne prends pas le temps de réfléchir, je me jette sur les assaillants, mes cavaliers sur les talons. Les envahisseurs se retournent vers nous, ne comprenant pas tout de suite ce qui se passe. J’attaque mon premier adversaire avant même que les quelques archers de leur groupe ne bandent leurs arcs. Je lui porte un coup droit qu’il pare de son épée mais qui lui fait perdre l’équilibre. Ouragan le projette au sol d’une ruade avant de le piétiner à mort. J’évite une hachette lancée dans ma direction puis défais les quelques hommes qui m’entourent, mon épée perforant des poitrails et cisaillant des gorges. Mes cavaliers ont multiplié le nombre de victimes parmi nos adversaires. Les quelques sauvages restants tentent de fuir mais sont vite terrassés par mes archers. Je lance une dague vers le dernier fuyard, elle atteint le bas de son dos. Avec un glapissement surpris, ma cible porte la main à l’endroit où mon arme l’a frappée, s’écroule, puis meurt, un râle d’agonie silencieux dans la gorge.
Je me retourne vers les villageois. Ils sont soulagés. L’un d’eux qui semble être le chef s’avance vers moi.
« Nous vous remercions, hommes du Gondor, pour nous avoir porté secours. Ces sauvages ont bien failli nous tuer tous.
- Ce n’est rien. Dites-moi plutôt qui vous êtes.
- Je suis Naelri, chef du village en quelque sorte.
- Bien. C’était la première fois que ces hommes sauvages vous attaquaient ?
- Oh non ! Ils nous harcèlent depuis bientôt trois semaines. Nous avons réussi à les repousser jusque là mais nous sommes épuisés, leurs attaques nous font subir des pertes de plus en plus lourdes et ils sont toujours un peu plus nombreux à chaque fois. Leur horde est très importante à ce que nous savons.
- Vous avez une idée de nombre ?
- Ils doivent être à-peu-près deux fois plus nombreux que vous. C’est une simple estimation. Ils ne nous ont jamais attaqués avec la horde complète, il m’est donc difficile d’être plus précis. Je peux vous dire qu’ils se terrent dans les bois environnants et que la meute semble assez éparpillée, néanmoins, nous savons qu’ils ont un chef.
- Et leurs assauts ? Sont-ils bien organisés ?
- Pas vraiment… Bien qu’ils aient apparemment plus d’expérience que de simples villageois, ce ne sont guère que des pillards. »
J’inspecte la cinquantaine de corps dispersés alentour. L’équipement des hommes sauvages semble confirmer ce que disait Naelri : des épées mal forgées, des couteaux, des arcs en bois, des hachettes et des boucliers en cuir, peu de métal, beaucoup de matériaux plus aisément trouvables et plus faciles à travailler. Tout est rudimentaire.
« Soldats du Gondor ! reprend Naelri. Au nom de mon village, j’implore votre aide. Nous vous prions de bien vouloir rester quelques temps pour nous protéger et, si vous le voulez bien, nous débarrasser de ces hommes sauvages. Ils vont revenir, ils n’auront de cesse que quand ils auront réussi à envahir le village, pillé nos maisons, violé nos femmes et tué nos enfants. Je vous en conjure, aidez-nous…
- Nous vous aiderons. Nous tuerons ces hommes et votre village retrouvera la tranquillité qui était la sienne. De toute façon, nous avions l’intention de nous arrêter dans les environs pour nous ressourcer. Mais l’heure est encore au combat. Bien, je vous demanderais de renforcer la barricade si vous avez encore des hommes valides, faites-lui faire le tour du village. Où sont vos femmes et vos enfants ?
- Ils se sont réfugiés dans un grand bâtiment public quand l’alarme a été donnée.
- Ce bâtiment est au centre du village ?
- Oui…
- Bien alors, ils pourront y rester en cas d’assaut. Pour l’instant, vous pouvez les faire sortir, je ne crois pas que les sauvages vont revenir dans l’immédiat. Nous allons patrouiller autour du village pendant la construction de la barricade. Si quelqu’un voit un assaillant, qu’il crie, mes hommes ont des cors, nous serons prévenus. »
Après cette conversation, je prends le commandement de mes cavaliers, de mes archers et de la moitié de mes lanciers tandis que Ralan s’occupe des archers, des guerriers et du reste des lanciers du groupe. Après quelques heures sans aucun incident, la nuit tombe sur le pays de Dun tandis que les villageois finissent d’entourer le village de la barricade. Cette barrière est un véritable fouillis, on y trouve tout et n’importe quoi : des troncs d’arbres, des planches, des ronces, de vieux meubles inutilisés, de gros morceaux de métal, le tout recouvert par des culs de bouteilles et du verre pilé. Naelri s’approche de moi :
« Bien, la barricade est terminée… Vous croyez que les sauvages vont nous attaquer cette nuit ?
- Non, je ne crois pas qu’ils viendront. La horde ne s’inquiètera de la disparition du groupe que demain matin. Et je compte utiliser cet avantage : ce soir, la moitié de mes cavaliers et moi irons parcourir la forêt à la recherche de petits groupes d’hommes sauvages. Vous m’avez bien dit qu’ils étaient dispersés ? Bon, nous rechercherons donc leurs campements qui devraient être aisément repérables grâce aux feux. Nous ferons quelques raids, nous éliminerons quelques ennemis puis nous nous replierons sur le village. Je pense que ces raids vont mettre les sauvages en colère et qu’en guise de représailles, ils vont réunir la horde et vont nous attaquer. Je suppose qu’ils ne seront pas trop inquiets quant au nombre de nos hommes… Après tout, ils n’auront vu que quelques cavaliers, les autres soldats resteront ici au cas où. Leur assaut principal ne sera que pour demain, le temps de rassembler leurs effectifs…
- Vous croyez que ça marchera ?
- J’en suis presque convaincu. »
Je commence le rassemblement de mes cavaliers. Après quelques minutes, ils sont tous à mes côtés, prêts à partir. Je regarde le ciel où apparaissent les premières étoiles puis dis : « Allons-y ! ». Tous les chevaux partent au galop vers la forêt. Quelques minutes passent avant que nous trouvions un premier campement. Guidés par la lueur des flammes, nous fonçons vers nos ennemis. Le bruit les alerte un peu mais ils ne comprennent pas ce qui arrive : ils ne peuvent pas nous voir. Enfin, nous sommes sur eux. Je m’empare de mon épée et la fais se balancer à côté de mon destrier pour fendre le crâne de mon premier adversaire. Je fauche encore une dizaine de sauvages avant que le campement ne soit complètement déblayé.
« Vers l’Est, déclaré-je. »
Nous repartons, nous trouvons un deuxième campement où, là encore, l’effet de surprise est fatal à ses occupants. L’opération est répétée trois autres fois. Puis après la destruction du cinquième campement, mes cavaliers et moi reprenons la route du village de Naelri.
Il nous faut une petite demi-heure pour arriver devant la barricade. Là, Ralan me hèle :
« Alors mon adjudant ?
- Nous avons détruit cinq campements. Ça devrait suffire à les énerver. Reposez-vous pour l’instant. Ils n’attaqueront qu’au matin, je pense. »
Je descends d’Ouragan et flatte son encolure. Il souffle doucement au contact de ma main. Je l’amène dans l’enclos que nous avons improvisé pour garder les chevaux puis me dirige vers un feu de camp. Là, je m’étends dans l’herbe fraîche et m’endors la tête dans les étoiles. Le lendemain, je suis réveillé par Ralan. Quelques soldats surveillent les alentours, d’autres affutent leurs armes, le reste de la troupe est encore endormi. J’avale un morceau de pain, puis me dirige vers l’enclos des chevaux pour trouver Ouragan. Je le selle et circule dans le village en le tenant par la bride et en réveillant mes hommes.
Une heure plus tard, tous mes soldats sont sur le qui-vive ainsi que les hommes du village. Les sauvages ne devraient pas tarder. Le plus gros des troupes est placé au Nord du village, là où il y a le plus de chance que nos ennemis attaquent. Pour l’instant, je suis derrière la barricade avec mes archers. Ouragan est à quelques mètres, derrière une maison. Les minutes passent, une fine bruine commence à tomber. Soudain, je capte un mouvement dans les arbres. Nos ennemis arrivent du Nord, comme c’était facilement prévisible, leurs campements étant placés pour la plupart dans cette direction. Je m’empare de mon cor et sonne l’alerte, puis je saisis mon arc, j’attends d’apercevoir la silhouette d’une cible et quand celle-ci apparaît, je décoche ma flèche. L’homme que j’ai atteint s’écroule entraînant quelques-uns de ses compagnons dans sa chute. Je peux maintenant voir une cinquantaine d’hommes s’approchant de la lisière du bois. Je décoche mes flèches, essayant d’éliminer un maximum d’adversaire, mes archers font de même.

Suite et fin :

Pour l’instant aucun sauvage n’a réussi à sortir de la forêt. Mais le flot de nos flèches ne suffit bientôt plus à les contenir à l’intérieur du bois. Un homme a pénétré dans la zone non couverte par les arbres. Il y a environ 100 mètres entre la lisière de la forêt et la barricade. C’est la zone la plus dangereuse pour nos ennemis. Leur nombre devient important et ceci leur permet de progresser lentement. Ils approchent. « Pas encore » dis-je en mon for intérieur. Il ne reste plus que 30 mètres entre la barricade et leur première ligne. « Encore un peu ». Plus que 15 mètres, alors je me redresse et m’écrie « Chargez ! ». Alors deux colonnes de cavaliers, l’une venant du côté Est du village et l’une venant du côté Ouest, foncent sur nos ennemis en contournant la barricade. Les sauvages sont pris en tenaille. Profitant de leur confusion, je cours chercher Ouragan, l’enfourche et me joint à la charge de mes hommes, mon destrier me menant de l’autre côté de la barricade par un bond spectaculaire. Je suis presque désarçonné.
Pendant ce temps, les sauvages ont commencé à se replier mais leurs lignes étaient trop proches et la charge que j’avais planifiée fonctionne à merveille, il fallait leur laisser le temps d’avancer assez pour que le plus grand nombre ne puisse pas se replier. Nos ennemis sont littéralement balayés par la vague de chevaux et de guerriers qui leur fond dessus. Mon épée saute d’un flanc de mon cheval à l’autre, fauchant les têtes des sauvages essayant désespérément d’éviter les sabots des chevaux, Ouragan n’épargne d’ailleurs aucun homme sur son passage.
Les deux colonnes finissent de se croiser laissant des corps inertes derrière elles.
« Bien ! Les autres se sont repliés, déclaré-je. Ils vont revenir mais ils vont se disperser cette fois-ci. Cavaliers, pénétrez dans l’enceinte entourée par la barricade. Lanciers, placez vous juste derrière la barricade, vous accueillerez les envahisseurs à coups de piques. Archers, vous vous placerez derrière les lanciers. Certains guerriers seront disséminés parmi les lanciers et d’autres placés derrière les archers. Les cavaliers mettront pied à terre et se mêleront aux guerriers. La moitié des Rôdeurs rejoindra les guerriers aussi et l’autre moitié se joindra aux archers. Prenez vos places. »
Le capharnaüm qui régnait dans le village s’organise peu à peu. Les villageois se joignent aux différentes catégories de soldats selon qu’ils ont des fourches, des haches ou tout autre instrument pouvant tuer ou assommer. Je me suis mêlé aux lanciers. Les soldats sont répartis sur toute la longueur de la barricade. J’espère que les sauvages n’attaqueront pas sur tout le périmètre sinon nous aurons du mal à éviter les brèches dans les défenses.
Je perçois des bruits sourds montant des bois. Des bruits de pas, ils approchent.
« Archers, tenez-vous prêts ! Nos ennemis arrivent ! »
Je saisis mon épée et m’empare d’une dague. Nos adversaires courent maintenant sur la zone découverte. Leurs archers se postent contre les arbres de la lisière de la forêt.
« Boucliers ! ordonné-je. »
Les flèches pleuvent sur nous avec des crépitements métalliques. À leur tour, mes archers décochent leurs flèches, quelques hommes sauvages qui couraient s’écroulent, face contre terre.
« Feu à volonté ! crié-je. »
Des dizaines de flèches volent au-dessus de nos têtes. D’autres sauvages tombent mais la vague d’assaillant continue d’avancer. La troupe se divise en petits groupes qui se dirigent vers différents endroits de la barricade. Au moins, ils ne nous attaqueront pas en cercle complet, cela nous aurait obligé à répartir nos forces sur tout le périmètre et nous aurait affaiblis.
Un premier adversaire tente de franchir la barricade, il est transpercé par une lance. D’autres ennemis atteignent maintenant la barricade et sont reçus de la même manière que le premier. Un sauvage essaie de passer par dessus un amas de bois en face de moi, quand il y parvient enfin, je lui enfonce ma dague dans la gorge avant qu’il ne puisse se rétablir correctement.
Pour l’instant, nous n’avons eu affaire qu’à des épéistes mais je vois des lanciers qui restent à couvert entre les arbres, ils attendent sûrement qu’une brèche se forme dans la barricade, leurs lances seraient encombrantes pour escalader la barrière. Mes archers continuent de pilonner l’espace découvert mais de plus en plus de sauvages s’amassent contre la barricade. J’accueille les ennemis qui arrivent en face de moi avec des revers d’épée et des coups de dagues. Ralan aussi se démène à côté de moi, transperçant les ventres ou coupant les têtes de ses adversaires. Mes lanciers et mes guerriers arrivent à contenir les assaillants, nous n’avons pas reculé depuis de le début de l’attaque.
Un homme sauvage saute du haut de la barricade et atterrit lourdement sur moi, nous tombons au sol, son corps au-dessus du mien. Il est légèrement sonné, j’essaie de lui planter ma dague dans le cou mais il roule sur le côté au dernier moment, je réussis à peine à lui égratigner la joue. Il se relève et me fait face. Après un court instant, il me charge son épée en avant. Je peux alors apprécier le manque d’aptitude au combat de nos adversaires. Je dévie négligemment sa lame et glisse la mienne dans ses côtes. Je me retourne vers un nouvel ennemi. Cette fois, je n’attends pas que celui-ci se jette sur moi, je l’attaque d’un revers qu’il bloque avec son bouclier. J’esquive son coup droit, fait sauter son épée hors de sa main et le décapite.
Je jette un coup d’œil sur les combats qui m’entourent. Nos défenses ont reculé légèrement sous le flot d’assaillants. Plus à l’Est, je remarque que le groupe de soldats défendant la barricade a beaucoup diminué. Avec des ordres brefs, j’envoie des hommes leur porter secours. Il faut que je voie comment vont les autres groupes autour du village. Je me débarrasse d’un adversaire en lui transperçant le cœur après avoir esquivé son revers. Je sors des lignes de défense puis enfourche Ouragan. Je longe la barricade, envoyant des renforts là où on en a besoin, réorganise des lignes qui s’étaient rompues et prends parfois part à la mêlée.
Après cette inspection, je réintègre le groupe avec lequel j’ai combattu au départ et constate qu’il s’est encore affaibli. Je me jette dans le combat, épée en avant, bouclier au bras. Je tranche la main d’un ennemi qui brandissait son arme dans ma direction puis lui tranche la gorge. Il s’écroule entravant un de ses compagnons que je tue pendant qu’il est au sol. Un autre sauvage m’attaque. J’esquive son premier coup en faisant un pas de côté et riposte pendant que sa garde est baissée. Je lui entaille la cuisse. Il pousse un cri de douleur et tente de me porter un coup au bras droit, je le dévie et transperce le flanc de mon adversaire. Il tombe au sol. Je lui porte le coup de grâce et m’apprête à affronter l’ennemi suivant. C’est un petit homme replet gigotant sans cesse. Il me charge, l’épée pointée vers moi et son bouclier protégeant un de ses flancs. Je bloque sa lame et enchaîne avec un coup droit violent, il le pare au dernier moment mais son épée lui échappe. Il se saisit de son couteau mais avant qu’il ait pu l’empoigner correctement, je l’envoie voltiger. Il fait un bond en arrière pour se mettre hors de ma portée et s’empare d’une hachette accrochée à se ceinture. Il la lance dans ma direction, je la bloque de mon bouclier, la lame percute le bois avec un bruit sourd. Je m’avance vers lui pendant qu’il prend une autre hachette. Le lui porte un revers qu’il bloque avec son bouclier, je lui envoie ensuite un coup de pied dans le tibia, il recule, j’attaque avec un coup droit qu’il essaie de parer avec son arme mais mon épée ripe sur la lame de la hachette, traverse le manche et vient entailler le bras de mon adversaire. Il lâche son arme, je lui assène alors un grand coup de bouclier sur le crâne, son front se fend sous le choc.
Soudain, un grand craquement se fait entendre. Je regarde l’endroit d’où provient le bruit et je découvre que la barricade a cédé. Les sauvages ont réussi à créer une faille dans la barrière hétéroclite et s’engouffrent maintenant dans le village. La brèche n’est pas très importante mais elle ne cesse d’être agrandie par nos ennemis. Les soldats postés à cet endroit essaient de contenir les sauvages mais ils sont obligés de reculer. Des lanciers se sont joints aux épéistes qui nous assaillaient. J’envoie des hommes d’autres groupes en renfort, de toute manière, tous les hommes sauvages se regroupent maintenant au niveau de la faille.
« Cavaliers, remettez-vous en selle ! ordonné-je. Nous allons rentrer dans le tas et éparpiller ces sagouins ! »
Mes cavaliers sortent alors des rangs et rejoignent leurs chevaux. Nous nous rangeons derrière les fantassins. Quand nous sommes prêts, je crie « Écartez-vous ! » aux hommes de troupe et la charge commence. Les chevaux galopent entre les rangs de mes soldats puis percutent la horde de sauvage. Je repousse la lance qu’un sauvage tend vers le poitrail d’Ouragan puis décapite mon agresseur. Je coupe ensuite le bras d’un épéiste avant de lui transpercer le cœur. Nous évoluons au milieu des rangs ennemis profitant de la vitesse de nos destriers. Je dirige la charge vers les archers ennemis en demandant à mes cavaliers de se protéger de leurs boucliers. Nos adversaires envoient une volée de flèches dans notre direction. Deux chevaux tombent frappés par les traits mortels. Mais bientôt, nous sommes sur les archers qui essaient vainement de se saisir de leurs couteaux qui seront bien inefficaces face à une charge de cavalerie. Nous balayons ces hommes puis nous nous retournons.
Les archers constituant l’arrière-garde de la horde, nous avions laissé derrière nous les soldats combattant au corps à corps. Ils sont tous à l’intérieur du village à présent. Ils encerclent mes hommes qui ont adopté une formation en cercle. Je relance la charge vers nos ennemis. Nous traversons leurs lignes fournissant à mes soldats une diversion qui leur permet de se disperser. Je fauche les sauvages se trouvant à portée de ma lame.
Je sors mon épée du torse d’un adversaire quand je m’aperçois qu’un des hommes sauvages semble donner des ordres. Je crois que je viens de repérer le chef de la horde. Je fais volter Ouragan et le lance au galop dans la direction du chef sauvage. Quand j’arrive à sa hauteur, je saute sur lui, le faisant tomber au sol et sauvant ainsi la vie d’un villageois. Ouragan continue de galoper vers l’intérieur du village. Mon ennemi se relève. C’est un homme massif et puissamment musclé. Il me lance un regard assassin avant de se jeter sur moi, je fais un pas de côté pour éviter sa charge et lui assène un revers. Il pare mon coup et tente de m’atteindre en se fendant. Je dévie sa lame et enchaîne avec un coup droit dirigé vers sa jambe. Sa garde étant baissée, il bloque mon coup avec son bouclier. Il riposte mais j’esquive, le prend de vitesse et le frappe au flanc. Le sang de mon ennemi coule le long de ma lame tandis qu’il gémit de douleur. Il ne baisse pas sa garde pour autant et me renverse avec l’énergie du désespoir. Je roule au sol, mon ennemi se place juste au-dessus de moi et tente de me trancher la tête. Son épée frappe le sol, à l’endroit précis où se trouvait ma gorge l’instant d’avant. J’ai perdu mon épée en tombant, aussi, je m’empare d’une dague. Mon ennemi abat une seconde fois son arme mais sa lame frappe encore une fois la terre. Je roule dans ses jambes. Il tombe à son tour. Je me mets sur mes genoux alors que mon adversaire est encore face contre terre et lui plante mon arme entre les omoplates. Il meurt sans un râle.
Je me redresse. J’entends alors un hurlement où toutes les nuances du désespoir se mêlent. Un sauvage vient de s’apercevoir que son chef est mort. Au désespoir succède la rage. Le sauvage pousse un grognement bestial et se précipite sur moi, au mépris de toute prudence d’ailleurs puisque qu’il vient directement s’empaler sur mon épée. Les autres sauvages réagissent à ce cri de la même manière irréfléchie. Mes soldats se contentent donc d’esquiver leurs charges et de les envoyer dans l’autre monde alors qu’ils étaient encore entrainés par leurs élans. Au bout de quelques instants, le nombre de sauvage se trouve réduit à une vingtaine. Comprenant qu’ils ne pourront pas s’en sortir, les derniers survivants tentent de fuir mais les traits de mes archers les rattrapent avant qu’ils n’aient pu franchir la barricade.
Alors, les hommes se rassemblent. On aide les blessés, on regroupe les morts et on se congratule entre combattants. Les quelques hommes du village qui ont combattu à nos côtés sont tous saints et saufs, mes soldats les ont bien protégé, certains sont même morts pour eux. Naelri s’approche de moi et me dit simplement :
« Merci !
- Ce n’est pas uniquement à moi qu’il faut le dire, Naelri. »
Alors le chef du village hèle mes hommes et les remercie, d’abord en s’adressant à tout le groupe puis à chacun d’eux ensuite. Après avoir fini, il déclara :
« Messieurs, nous vous devons la vie ! Permettez-nous au moins de vous offrir notre hospitalité ! Venez donc vous reposer soldats, vous en avez besoin. »
Nous entrons donc dans les maisons de ceux que nous avons défendus, le cœur serré en pensant aux soldats ayant donné leurs vies pour en protéger d’autres, comme beaucoup avant eux et comme de nombreux hommes qui mourront sur les champs de batailles pour pouvoir enfin délivrer la Terre du Milieu de l’influence maléfique de Sauron et de tous ses serviteurs.

lol, excellent...
je corrigerais plus tard...

OK !

magnifique, spendide, superbe, waow!

action : 19
réalisme : 17, charger des lancier avec des cavaliers, c'est suicidaire...
longueur : 19
ortho : 20, il y en a surement une ou deux, mais je n'ai rien vu, et meme s'il y en avais eut trois, dns un tel récit c'est négligeable
vocabulaire : 18

tu gagne 3000 et tu passe niveau 7

Y'a un nouveau critère ?

oui depuis aujd

Citation :

charger des lanciers avec des cavaliers, c'est suicidaire...

Pourtant Theoden le fait dans la bataille des champs de Pelennor (dans le film).

la ils sont 6000, et les orcs chient dans leurs froc, en plus t'as vu la gueule des lances?

Hein dans le film il s mettent en lancier?

D'accord, j'ai peut-être été un peu téméraire mais que serait la vie sans un peu de risque...

Non sans blague, merci pour le conseil Loki. Il me semble que je m'étais fait la réflexion mais j'ai laissé comme c'était...

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 7 (sous-officier : adjudant-chef)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (habile), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une cotte de mailles, cheval (Ouragan), arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -90 autres rôdeurs
-90 guerriers du Gondor
-90 archers du Gondor
-90 cavaliers du Gondor
-90 lanciers du Gondor
Argent restant : 16645 pièces d’or.

et ben avarell t'écrit super bien

Une des meilleurs recrue !

Merci !

Je veisn de voir mon grade, il est con !

comment t'es baleze averell , tu fais des super longues missions ^^