Alkar (Averell288) (bien)

Présentation :

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 4 (sous-officier : sergent)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (apprenti), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une armure de mailles, arc simple elfique, épée simple en bronze, cheval
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -20 autres rôdeurs
-30 guerriers du Gondor
-30 archers du Gondor
-20 cavaliers du Gondor
Argent restant : 3000 pièces d’or.

Mission donnée par Loki :

Le Palais des Elfes en Forêt Noire est attaqué. Les assaillants sont bien trop nombreux, aussi viens en aide aux elfes.

Bien :-toi et tes hommes
-130 guerriers elfes
-90 archers elfes
-50 cavaliers elfes
+1 forteresse en pierre avec solides tours en pierre

Mal :-200 guerriers ourouks du Mordor
-120 soldats orcs
-140 archers orcs
-1 bélier
-10 échelles
-5 catapultes

Histoire :

La Forêt Noire. Je connais bien cet endroit. Avant de m’installer à Minas Tirith, j’errais entre ses grands arbres. Je trouvais de quoi me loger chez les Elfes. Maintenant, je viens en aide à ces derniers. Ils ont appris par leurs espions qu’une armée d’orques venait pour prendre le Palais de la Forêt Noire. Leurs troupes sont moins importantes que celle des orques. Il nous ont appelé, moi et mon groupe, par pigeon voyageur, pour venir leur prêter main forte.
Je chevauche Ouragan, mon nouveau cheval. Je suis devenu cavalier après la dernière bataille à laquelle j’ai participé. Je suis très content de mon destrier. Il est calme et me comprend parfaitement quand je le monte.
Les orques que nous allons affronter seraient plus de 450 et seraient équipés d’armes de sièges. Même avec les renforts que nous apporterons aux elfes, les orques seront en supériorité numérique.
Nous arrivons devant les portes du palais. J’entends une des sentinelles annoncer : « Le sergent Alkar est ici ! ». Les portes s’ouvrent et mon groupe pénètre dans la forteresse. Un Elfe qui semble être le général des armées de la Forêt Noire s’approche de nous et déclare :
« Soyez les bienvenus ! Nous vous attendions.
- Salut à vous, général Eldar, réponds-je. Comment allez-vous ?
- Aussi bien qu’une situation telle que la nôtre peut le permettre, merci. »
Je descends de cheval.
« Bon, où mes hommes vont-ils devoir s’installer ?
- Vous pourrez vous installer dans le fort de gardes du palais. Il y a assez de place pour tous.
- Très bien ! dis-je.
- Les orques devraient arriver ici dans 2 jours. Cela devrait nous laisser le temps de préparer notre défense.
- Oui, sans aucun doute. répliqué-je.
- Installez vos soldats dans leurs quartiers. Nous discuterons de la bataille ensuite. dit-il.
- Très bien ! Alors, à tout à l’heure. »
Un soldat Elfe nous guide maintenant, mes hommes et moi vers le fort des gardes. Nous entrons et saluons les Elfes présents. Je pose mon paquetage et dis à mes hommes de s’installer. Puis, je retourne auprès du général.
« Vous voilà. me dit-il.
- Oui… Alors, à quoi avez-vous pensé jusqu’à maintenant ?
- Eh bien. Nous n’avons qu’un seul atout par rapport à notre ennemi : c’est notre forteresse. Il va falloir organiser nos archers le mieux possible pour faire un maximum de dégâts dans leurs troupes dès le départ. Il faudra en placer dans les tours et sur le mur d’enceinte.
- Oui, mais les archers des tours ne devront pas y rester longtemps. Ce seront les premières cibles des catapultes. Les archers devront revenir vers le mur d’enceinte.
- Effectivement. Ensuite, les orques lanceront leurs échelles. Les archers dégaineront leurs dagues et des guerriers elfes du mur combattront. Il faudra aussi essayer de repousser les échelles. Vous, vous commanderez vos archers et Rôdeurs au début. Puis quand la porte du mur commencera à montrer des signes de faiblesse, vous et vos Rôdeurs descendrez rejoindre les cavaliers et les autres guerriers postés devant. Je vous enverrai quelques archers. Quand la porte cédera, faites tirer vos archers et vos Rôdeurs. Les orques vont pénétrer dans la forteresse. Vous ferez alors intervenir vos guerriers, les cavaliers ne seront pas utiles tout de suite. Pour qu’une charge de cavaliers soit efficace, il va falloir attendre que nos ennemis s’enfoncent encore dans la forteresse. Après le mur d’enceinte s’étend une grande cour. Après que vos guerriers auront combattu quelques orques, il faudra que vous ordonniez leur repli. Celui-ci devra être rapide. Pour accéder à la cour dont je vous parle, il existe trois rampes qui partent du pallier du Palais : 2 sur les côtés, chacune forme une courbe, et une qui part directement vers la cour, elle est donc droite. Ce ne sont pas des escaliers et vos chevaux pourront charger en passant par celles-ci. En clair, je vous suggère de placer les cavaliers en haut de ces rampes pour que les orques ne voient pas ce que vous préparez. Vous faites replier vos guerriers par la rampe du milieu et vous faites charger vos cavaliers par les deux rampes des côtés.
- Merci. C’est très bien. Les quelques archers qui seront devant la porte et mes Rôdeurs se placeront derrière les guerriers lors du repli, et quand je crierai « Chargez ! » pour mes cavaliers, ils devront tirer une volée de flèches pour préparer notre charge.
- Ensuite, vous sortirez de la forteresse et vous chargerez avec vos cavaliers à travers leurs rangs.
- Bien ! Et pour les catapultes ? demandé-je.
- Les archers devront en priorité viser les orques chargés de la manœuvre des catapultes, bien entendu mais, ce ne sera pas très utiles puisque ces créatures seront remplacées. Ah oui, je dois aussi vous dire que la porte principale, celle du mur d’enceinte, sera couverte par quelques archers. Ils devront freiner au maximum l’action du bélier.
- D’accord. Je vous remercie Général Eldar. »
Je retourne auprès de mes hommes et leur annonce le plan. Cinq minutes plus tard, ceci s’avère inutile puisque le Général elfe appelle tous les hommes pour expliquer en détails comment nous allons assurer la défense de la forteresse. Nous retournons dans le fort des gardes pour y dormir.
Le lendemain, on désigne sa place à chaque soldat. 80 guerriers elfes se posteront sur le mur. Les 50 autres guerriers elfes se posteront devant la porte ainsi que mes guerriers. Les orques vont attaquer du côté Sud, c’est le seul qui soit accessible : il y a la porte ; les autres faces de la forteresse sont bordées d’arbres. Dix archers elfes se placeront donc dans chacune des deux tours du côté Sud. Vingt archers elfes se placeront sur le mur au-dessus de la porte pour la couvrir. Tous les autres archers elfes et les miens se placeront sur le mur d’enceinte ainsi que mes Rôdeurs. Les cavaliers seront sur le seuil du Palais. Quand la porte commencera à céder, dix de mes archers, mes Rôdeurs et moi irons nous poster devant.
Plus tard dans la journée, je reviens vers le général pour lui confier une idée que je viens d’avoir :
« Général, il faut que l’on tente un raid de cavaliers. Je conduirai mes hommes à travers les bois et nous tuerons le maximum d’ennemis. Qu’en pensez-vous ?
- Non, je ne vous autorise pas à faire cette sortie. Les orques s’attendront à des choses dans ce genre. Je pense qu’ils vont rester un maximum groupés malgré les arbres. Leurs archers vont décimer les cavaliers et je ne veux pas risquer de réduire le nombre de mes troupes de 70 et je ne veux pas non plus me priver de l’atout que les cavaliers pourront représenter lors de la bataille.
- Très bien, vous avez raison.
- Selon nos renseignements, les orques arriveront demain tôt dans l’après-midi. Allez vous reposer. Nous aurons une dure journée.
- Bien, à demain. »
Je repars au fort des gardes pour y dormir. Le lendemain matin, tous les hommes se mettent en place. A l’approche de midi, nous prenons un repas rapide sur le mur pour ne pas quitter nos postes. Une heure après, la sentinelle, qui est un elfe, crie qu’elle aperçoit les premiers orques qui composent l’armée. Tous les soldats de notre camp se dressent et regardent dans la direction indiquée. Pour l’instant, seuls les elfes et les Rôdeurs peuvent apercevoir les ennemis. Ils sont trop loin pour que les hommes les aperçoivent. Après deux minutes de marche, les orques arrivent devant la forteresse. Ils se rangent en lignes. Les soldats orques sont devant, les archers sont derrière eux et encore derrière eux, il y a les Ourouks qui ferment la marche. Les catapultes sont placées entre les Ourouks, on peut voir les échelles et le bélier entre les soldats orques. Le bélier est placé juste devant la porte. Ce n’est guère qu’une grosse bille de bois mais elle est suspendue sur un chariot.

Voilà la suite, la mission entière ne pouvait pas tenir dans un message.

Les orques grognent, les hommes soufflent, la tension monte. Le cor des orques retentit. Je demande à mes archers de se tenir prêts. Je regarde le général, il me fait un signe de tête. La bataille commence. Alors je me retourne vers mes archers et mes Rôdeurs et leur crie de tirer. Eldar en fait autant avec ses elfes et une pluie de flèches s’abat sur nos ennemis. Les archers orques ripostent tandis que les soldats commencent à placer leurs échelles contre le mur de la forteresse. J’ordonne une deuxième volée de flèches. Une échelle touche le haut du mur, je me précipite dessus et la fait tomber. D’autres échelles arrivent, les orques commencent à grimper. Plusieurs soldats se précipitent vers une échelle alourdie par le poids des orques, elle tombe pesamment sur les créatures restées au sol. J’ordonne aux archers de tirer à volonté sur les orques devant le mur tandis que j’empoigne mes deux épées.
Je me rapproche d’une échelle plaquée au mur. La tête d’un orque dépasse le dernier barreau et je la coupe d’un revers de mon épée en bronze. Le reste du corps tombe et emporte avec lui quelques orques qui étaient en dessous de lui. Un autre orque arrive en haut de l’échelle, je lui transperce l’estomac en faisant passer mon épée entre deux barreaux. Déjà, quelques orques ont réussi à grimper sur le mur et l’un d’eux se dirige vers moi. Il brandit son épée d’un air menaçant. Je lui fonce dessus, il pointe son arme vers moi, je la dévie avec ma lame en fer et enfonce l’autre épée dans sa poitrine. Je demande aux archers de prendre leurs dagues en voyant que les orques atteignent le haut du mur de leur côté. Un autre orque se dirige vers moi. Je cours vers lui, j’esquive le coup qu’il essaye de me porter puis je plante mon épée dans son flanc découvert.
Le combat m’entraîne près de la porte. Je vois les archers postés au-dessus tirer sur les conducteurs du bélier. La porte a l’air de pouvoir tenir encore quelques minutes. Les catapultes ont déjà détruit les deux tours du côté Sud. Elles tirent maintenant sur le mur. La balustrade s’écroule sous les projectiles. Elle tombe en morceaux sept mètres en dessous et écrase quelques orques. Un petit groupe d’archers est monté sur le mur. Les autres sont encore en bas. Les Ourouks-haïs ont commencé à monter et certains sont déjà sur la muraille. Je combats l’un d’eux. Je le feinte et lui transperce la gorge. J’entends son râle pendant que je défie un nouvel adversaire. Il m’assène un grand coup vertical, je fais un pas de côté et la lame de mon ennemi frappe le sol. Je lui donne un grand coup de pied dans le menton. Il se relève complètement abasourdi. Je lui coupe la tête.
Les hommes du mur tiennent bien l’assaut des orques. Les pertes de notre côté sont jusqu’à maintenant relativement limitées. Ce sont les catapultes qui ont été les plus meurtrières. Alors que je réfléchis à ça, le projectile d’une catapulte heurte le mur. Sous le choc, mes jambes se dérobent et je m’affale. Je me relève avec les côtes douloureuses. Un Ourouk, profitant de ma chute, se jette sur moi et me donne une charge qui me renvoie saluer la pierre de la forteresse une nouvelle fois. Je sens la colère m’envahir, cette sensation de ne plus être maître de son équilibre m’est particulièrement désagréable. Avec une énergie qui surprend mon ennemi, je me remets sur pied et lui envoie un revers horizontal en plein visage. Une entaille apparaît, elle parcourt le faciès de mon adversaire sur toute la largeur. C’est au tour de l’Ourouk-haï de perdre l’équilibre, il tombe et j’en profite pour lui donner le coup de grâce. Soudain un cor retentit.
Ce cor est le signal qui m’indique que la porte est sur le point de céder. Je hèle mes Rôdeurs et dix de mes archers puis me précipite vers la porte. Je vois les guerriers qui freinent l’action du bélier autant qu’ils le peuvent à l’aide madriers. Les cavaliers sont postés en haut des rampes. J’organise mes Rôdeurs et mes archers pour qu’ils tirent quand la porte cédera puis je demande aux guerriers de se tenir prêts. Le bélier enfonce la porte encore deux coups et les battants volent en éclats, renversant les guerriers se trouvant derrière.
Quelques flèches ennemies volent à travers la cour. Aucune n’atteint sa cible. Je demande à mes archers de riposter. Plusieurs orques en première ligne s’écroulent. J’ordonne aux guerriers de combattre puis je vais rejoindre mes cavaliers. Je saute sur Ouragan et je dis aux cavaliers de se tenir prêts. Je crie aux guerriers de se replier. Ils le font assez vite. Je crie : « Chargez » et les chevaux se ruent sur les deux rampes alors qu’une volée de flèches traverse les lignes ennemies. La charge arrive sur les flancs du groupe des orques. J’arrive le premier dans la masse. Ouragan fonce tête baissée dans la mêlée tandis que je tranche les têtes de mes adversaires à l’aide de mes deux épées. Un orque réussit quand-même à faire un écart juste à temps pour éviter mon coup et riposte avec un violent revers. Je ne peux rien faire pour éviter celui-ci, ma garde est baissée à cause du coup que l’orque a évité. Je n’ai plus aucun espoir quand soudain, je me sens déséquilibré. Ouragan vient de faire lui aussi un écart pour éviter le coup de l’orque. Mon cheval vient de me sauver la vie. Je m’accroche aux rênes et profite de la surprise de mon adversaire pour lui trancher la tête. Je gratifie mon cheval d’une caresse sur la crinière et je repars pour continuer ma moisson de vies. Je rengaine quand-même mon épée en fer pour me munir du bouclier pour plus de sécurité.
Après quelques minutes de combat supplémentaires, les orques qui avaient réussi à s’enfoncer jusque dans la cour ont été éliminés. Alors je crie : « Cavaliers, nous allons sortir et faire une percée à travers les rangs des ennemis encore au sol. Guerriers, vous nous suivrez et vous vous chargerez des chanceux qui auront échappé à notre charge. C’est compris… Alors, à l’attaque. » J’éperonne mon cheval qui se rue vers la porte. Je passe cette dernière avec trois dagues à la main que je lance sur les Ourouks-haïs que je croise. Nous nous retrouvons à l’extérieur. Là je donne des coups d’épées tantôt à gauche, tantôt à droite. J’arrache la tête de quelques orques, je tranche la gorge à d’autres ou encore entaille leur poitrine. La colonne de cavaliers circulent à travers les rangs des orques. Nous arrivons au niveau des derniers archers. Quelques flèches traversent l’air dans ma direction. Je les stoppe à l’aide de mon bouclier puis quand le risque des flèches est passé, je saisis mon épée et recommence à la faire voyager d’un côté à l’autre de mon cheval. Celui-ci d’ailleurs n’est pas laissé pour compte dans la tuerie des orques, je ne compte plus le nombre de ceux qui ont perdu la vie sous ses sabots. Une fierté sans borne m’envahit à la pensée de posséder un cheval si vigoureux et si intelligent. Les longues heures d’entraînement en sa compagnie m’avaient déjà permis de constater ses qualités, mais là, en plein combat, elles ressortent dans toute leur grandeur.
Nous arrivons à proximité des catapultes. Là, les cavaliers tuent les orques de manœuvre et les soldats se chargent de mettre les catapultes hors-service. Puis je dirige la charge vers le mur. Nous longeons le rempart quand il me vient une idée. Je tue un orque à proximité mais avant qu’il ne tombe, je lui prends son grappin et le lance en direction d’une échelle. Il s’accroche à un barreau, alors je tends la corde et avec la vitesse de mon cheval, je fais tomber l’échelle. Je répète l’opération pour chaque échelle et bientôt, elles sont toutes par terre.
Je lève la tête, au sol il reste encore quelques orques désorganisés persécutés par mes cavaliers. Les catapultes ainsi que le bélier ne fonctionnent plus et sur le mur, on aperçoit les archers elfes qui tirent sur les ennemis qui sont dans la plaine et qui essaient de s’enfuir. J’aperçois un Ourouk-haï qui court à quelques mètres de moi. Je saisis une dague et la lance dans sa direction. Elle vient se ficher entre les omoplates de la créature qui s’effondre après avoir poussé un grognement de surprise et de douleur.
La bataille prend fin. Tous les orques sont morts. J’éperonne Ouragan et je reviens vers la forteresse. Je rencontre Eldar couvert de sang et blessé au bras. Je descends de cheval et applique sur sa plaie quelques herbes de guérison. Il me remercie et me dit que nous devons battre le rappel des troupes. Après celui-ci nous pouvons constater les pertes : 50 guerriers elfes, 15 guerriers du Gondor, 30 archers elfes, 12 archers du Gondor, 7 Rôdeurs, 14 cavaliers elfes et 6 cavaliers du Gondor. Le général a quand-même récupéré les catapultes des orques. Dorénavant, elles défendront la Palais de la forêt noire. Après que le général a remercié et félicité tous les hommes, j’appelle mes hommes restants, enfourche Ouragan et déclare : « En route vers le Gondor. »

Voilà ma mission. Je la livre avec une heure de retard par rapport aux minutes annoncées mais elle est là.

et tu voudrais que je corrige ce big texte ?? mdr
c'est grave si je te le corrige que demain vers 8h ?? parce que la je fais ma propre mission.

C'est Loki qui me corrige je crois.

dezo je te confonds avec tyrannus .....

Non, non, moi c'est Averell. Tu sais le grand dadet des frères Dalton... Ben c'est moi !

33/20 en longeur

Ps : Je poste dans 5 à 10 minutes pour te dire si ces bien...

Super cette missionete lol

Loki, tu m'oublies ?

Comment ose t il oublier une telle mission

je n'ai pas oublier, mais je l'ai lu en deux fois.

action : 19, rien à redire
réalisme : 19, idem
longueur : 19, toujours idem
ortho : 19.5, deux fautes en tout et pour tout, ce qui n'enlève vraiment pas grand chose dans une telle mission

toute mes félicitations, tu gagnes 2000 or, tu passe ADJUDANT et je t'offre un arc composite elfique.
Si certain ne l'ont pas encore remarqué, les belles missions sont toujours grassement récompensées.

Merci beaucoup Loki. T'es vraiment sympa.

Voici ma carte d'identité :

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (apprenti), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une armure de mailles, arc simple elfique, épée simple en bronze, cheval, arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 5000.

Je vends mon arc simple elfique. J’attends ton prix Loki.

Je voudrais aussi une nouvelle mission. J'enlèverai l'arc simple elfique dès que tu me l'auras acheté Loki.

J'éspére que tu ratrapera Arph Il m'énerve à se vanter

je te reprned ton ancien arc 1500 or

Merci.

Voici ma carte d'identité avec la dernière mise à jour :

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (apprenti), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une armure de mailles, épée simple en bronze, cheval, arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 6500.

J'ai lu ta derniére mission Averell, elle est super...

Les orcs ont battis une forteresse dans la vallée des rigoles sombre. Les elfes ne tollérant pas cette présence veullent l'attaquer, mais elle est solidement défendue.

Bien :-toi et tes hommes
-600 guerriers elfes
-500 archers elfes
-15 catapultes elfiques
-2 belliers
-2 trébuchets du gondor
-25 echelles de siège

Mal :-500 guerriers ourouks du mordor
-300 soldats orcs
-500 archers orcs
+un forteresse en pierre

Merci !

Belle, mission

premieres fois que je vois une mission avec des armes de sieges.

Moi aussi, mais ces la premiere fois que je voyais une mission sur mer

Euh il y a une petite erreur dans mes dernières cartes d'identité. Mon talent archer est en habile. Je modifie ça et je poste ma carte.

Voilà :

Nom : Alkar
Camp : Bien
Race : Homme (Rôdeur, Dunedain)
Grade : niveau 6 (sous-officier : adjudant)
Talent : Épéiste (expérimenté), archer (habile), cavalier (apprenti)
Equipement : une épée simple en fer, cinq dagues courtes, un bouclier en bois, une armure de mailles, épée simple en bronze, cheval, arc composite elfique
Lieu de résidence : Minas Tirith
Groupe : -80 autres rôdeurs
-80 guerriers du Gondor
-80 archers du Gondor
-80 cavaliers du Gondor
-80 lanciers du Gondor
Argent restant : 6500 pièces d’or.

Les orcs ont battis une forteresse dans la vallée des rigoles sombre. Les elfes ne tollérant pas cette présence veullent l'attaquer, mais elle est solidement défendue.

Bien :-toi et tes hommes
-600 guerriers elfes
-500 archers elfes
-15 catapultes elfiques
-2 belliers
-2 trébuchets du gondor
-25 echelles de siège

Mal :-500 guerriers ourouks du mordor
-300 soldats orcs
-500 archers orcs
+un forteresse en pierre

Cette mission est en cours depuis la fin des vacances d'été Loki. Je pense que je te la rendrais au pire après-demain. A propos, est-ce-que tu peux me renvoyer la carte de la Terre du Milieu que tu m'avais donnée cet été. Je la trouve plus dans mes fichiers. Merci d'avance.
Ps : Envoie la carte en pièce jointe avec un e-m@il.

Salut Avrell, sa fait longtemps!

Salut Boss !