Nim Sparfel

Mouarf du 2 contre 1 quasi...je vais me marrer

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier (expérimenté) - Epéiste (habile) - Piquier (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval + armure complète en acier + bouclier d'acier + casque en fer protège-nez
-Lieu de résidence : Edoras
-Grade: Sergent
-Groupe : 70 Cavaliers + 30 Archers à cheval
-argent restant: 3250

6 missions réussies



Septième mission

Une troupe du Gondor a établie une base près des chutes de Rauros. Depuis quelques jours, ce camp est assiégé par des troupes du Rhûn en attente de renforts avant de lancer l'attaque. Toi et tes hommes devez tuer tous les orientaux avant qu'ils n'attaquent.

Bien :-toi et tes hommes + 80 cavaliers du Gondor
(dans le camp du Gondor)-150 guerriers, 85 archers, 80 lanciers, 75 cavaliers

Mal :-350 soldats du Rhûn
-200 hallebardiers du Rhûn
-150 archers du Rhûn
(renforts)-150 guerriers orcs, 50 lanciers orcs, 100 archers orcs




Le retour vers Edoras se déroulait le plus paisiblement du monde. Nous étions tous encore quelque peu sous le choc de notre rencontre avec les elfes, ces guerriers hors du commun. Chacun de nous savourait le goût de la victoire et une tranquille félicité nous submergeait. Mais ce n’était pas pour autant que nous n’étions pas prêts à en découdre, le champ de bataille est notre demeure et il nous tardait de rentrer chez nous!
Nous venions de passer l’Entalluve au niveau de Fangorn lorsque je les ai aperçus. Une troupe de cavaliers un peu près deux fois moindre en importance que nous nous filait droit dessus. Vu leur vitesse ce ne pouvait être que des nôtres. Mais on n’est jamais trop prudent et j’ordonnai tout de même à mes hommes de se mettre en formation de combat.
Je reconnais parmi les hommes de la nouvelle troupe ceux que j’avais envoyés vers Edoras en messagers de notre victoire. L’homme qui les dirige n’est rien d’autre qu’un messager lui aussi et il m’informe qu’Edoras m’envoie ces hommes pour remplacer ceux qui sont tombés aux côtés des elfes, ainsi me revoilà à la tête de cent hommes. Il me transmet aussi mes nouveaux ordres. Nous ne retournons plus à Edoras car nous sommes une fois de plus appelés au secours des hommes du Gondor. Ceux-ci ont construit un camp à l’ouest des Chutes de Rauros mais s’y retrouvent déjà assiégés par des Orientaux, eux-mêmes secondés par des orcs venant du Mordor. Les ordres ne disent rien sur le nombre d’ennemis et de défenseurs mais quatre-vingts cavaliers du Gondor nous attendent à l’ouest de Sarn Gebir et eux en sauront sûrement plus.
Le messager s’en retourne seul vers Edoras alors que mes nouvelles recrues intègrent les rangs. Ils ont l’air aussi expérimentés que d’autres…sans doute des reliquats d’unités décimées…à la guerre rien ne dure…je vais pourtant de tacher de faire en sorte que mon temps soit long et si possible glorieux.
Nous reprenons donc la route, prenant au sud-est à travers l’Ouest Emnet puis retraversons l’Entalluve et nous retrouvons dans l’Est Emnet que nous traversons à toute allure pour finalement voir apparaître les contreforts de Sarn Gebir. Durant tout le trajet j’ai essayé de parler à chacun des nouveaux arrivants afin de savoir si ils répondront à mes ordres aussi bien que je suis en droit de l’espérer de n’importe lequel de mes hommes. Au loin nous distinguons le campement des cavaliers du Gondor qui nous ont vu eux aussi. Nos forces se rejoignent et l’officier qui mène cette troupe me fait un bref rapport de la situation. Nous constituons une unité de cent quatre-vingt cavalier et la garnison du camp que nous devons secourir est constituée de près de quatre cents soldats du Gondor. Il y a sept cents hommes du Rhûn aux portes du camp et trois cents orcs traversent en ce moment la région de Nindalf pour rejoindre les assiégeants.
Toute de suite je comprends qui si les orcs rejoignent le siège nous ne pourrons l’emporter. Il nous faut donc soit agir de toute urgence ou alors neutraliser les orcs d’une façon où d’une autre. Et même alors, sept centaines d’hommes constituent une masse bien trop importante pour être brisée par une charge de moins de deux cents cavaliers, notre seule chance de prendre l’avantage serait de charger les hommes du Rhûn au moment où ils assiégent le camp mais ils ne lanceront pas l’attaque tant que les orcs ne seront pas là…c’est un euphémisme de dire que la situation n’est pas simple. Je réunis mes trois seconds et nous nous entretenons avec l’officier de Gondor. Quoi que nous fassions nous nous battrons à deux contre un et encore, au mieux!
Nous ne pouvons pas charger les Orientaux...il faut absolument qu’ils se lancent dans le siège du camp, lorsqu’un siège s’engage les défenseurs ont toujours un avantage du moins pendant un certain temps, l’idéal serait que nous surgissions au bout de ce laps de temps. Mais que faire des orcs et comment forcer les hommes du Rhûn à débuter l’attaque? C’est Hilroy qui finalement trouve la solution. Les orcs ne pourront traverser l’Anduin au niveau des Chutes, le courant est trop fort, ils devront donc traverser le delta de l’Entalluve qui est un vrai labyrinthe de cours d’eau. En sortant de là ils seront épuisés et alourdis par toute l’eau qu’ils auront emportée avec eux. Le delta se termine au nord par un dernier cours d’eau de grande importance et qui délimite les frontières de nos terres. Sur cette rivière il y a un unique endroit où les orcs pourraient passer à moins d’un détour de plusieurs dizaines de kilomètres, un pont de bois. Ce pont est extrêmement robuste mais ça reste du bois et le bois ça brûle. Je ne suis pas un adepte de la pratique de la terre brûlée mais je ne pense pas avoir le choix cette fois ci.
Rapidement un plan prend forme dans mon esprit maintenant que j’entrevois une façon d’obtenir la victoire. Gahma et une dizaine hommes partiront pour vers le pont qui n’est pas très loin d’ici et auront pour mission d’y bouter le feu. Les orcs, lorsqu’ils arriveront, se retrouveront ainsi devant un torrent infranchissable. Ils auront alors le choix de rebrousser chemin ou de faire un détour, dans les deux cas cela nous donne suffisamment de temps pour nous occuper des Orientaux. De plus l’incendie du pont dans la nuit sera visible depuis le camp des Chutes. Les Orientaux en l’apercevant supposeront certainement qu’il s’agit là d’un pillage perpétré par les orcs et lanceront le siège et croyant leurs alliés proches d’eux. Du moins j’aime croire qu’ils le feront. Et à ce moment nous seront prêt à voler au secours des assiégés.
Je rassemble les hommes pour leur expliquer le plan que nous avons arrêté. Tous écoutent dans un silence de mort. Le son de la bataille résonne déjà dans leurs oreilles, à ce moment précis ils arrêtent d’être des hommes et deviennent des soldats. Après mon discours ils s’équipent et se mettent bien vite en formation. Je prie en mon for intérieur, sans pourtant trop y croire pour que tout se déroule comme prévu.
La moitié du jour…Gahma s’éloigne avec dix de mes cavaliers, chacun une torche à la main. Je prends la tête du reste des hommes et nous nous dirigeons vers le camp assiégé aussi silencieusement que possible.
Le crépuscule…nous arrivons à proximité du camp. Les homme du Rhûn auraient bien du mal à nous entendre avec le bruit qu’ils font eux même, ils ont installé à quelque distance de la porte du camp une multitude de tentes et tous ou presque sont là, assis autour de feux de camp tandis qu’une cinquantaine d’hommes montent la garde devant la base assiégée…manifestement ils ne sont pas décidés à attaquer de sitôt. Sarn Gebir étend ses contrefort jusqu’ici et les deux camps se trouvent dans un creux juste derrière l’un deux, nous-mêmes étant positionnés de l’autre côté de ce contrefort. Nous avons encore quelques heures avant que Gahma incendie le pont et cela me donne une nouvelle idée.
Lorsque je pénètre dans le camp allié j’ai avec moi deux de mes meilleurs hommes et l’officier du Gondor qui a absolument tenu à venir. Il n’a pas été dur de se faufiler jusqu’ici, les Orientaux étant principalement positionnés sur le côté ouest du camp ils nous a suffit de les contourner et d’escalader un mur loin de leurs regards. À l’instant où nous touchons le sol du camp nous sommes interpeller par des sentinelles…preuve que ceux-ci sont moins incompétents que les hommes du Rhûn, voilà qui est rassurant. Une fois qu’ils sont assurés de notre identité nous sommes conduits au chef du camp. Sans perdre un instant je lui explique l’incendie du pont ainsi que la suite de notre plan. Il semble extrêmement content de nous voir et accepte tout ce que nous lui proposons…Tant mieux.

La nuit…nous avons rejoint les autres sont aucune anicroche et désormais nous attendons. La nuit est particulièrement sombre et alors qu’embusqués nous patientons au sommet de la colline qui surplombe le camp ennemi les seules lumières qui nous parviennent sont celle des quelques sentinelles encore éveillées parmi nos ennemis. La tension est palpable dans nos rangs, tous nous attendons de voir un brasier s’élevé au sud. Notre attente arrive finalement à son terme…le rouge se mélange au noir et de ce qui reste du pont là-bas au loin nous voyons s’élever des flammes gigantesques. L’agitation gagne le camp ennemi quand les sentinelles réveillent tout le monde à grands cris. Depuis l’endroit où je suis je repère le chef qui sors de sa tente et s’entretient avec ses lieutenants. Tous on l’air de vouloir lancer l’attaque, sans doute sont-ils peu rassurés de rester aussi longtemps sur nos terres mais malheureusement leur chef semble ne pas les écouter. D’un geste suffisamment clair il les renvoie se coucher. Le désespoir manque de m’envahir quand soudain un son de cor se fait entendre dans la nuit…un cor orc!
Ce que cela signifie, je n’ai plus le temps de m’en soucier. Si les orcs ont réussis à passer il nous faut attaquer maintenant. Je m’apprête à changer mes ordres pour attaquer nos ennemis dans leur campement pourtant tellement vaste que nous ne pourrons que nous y perdre mais il apparaît que la malchance m’abandonne soudainement. Le chef ennemi semble croire que ce cor est celui de ses alliés qui le rejoignent. Comme j’aimerais qu’il se trompe. Néanmoins cela a pour effet qu’il ordonne l’assaut sur le camp du Gondor…tout n’est pas perdu! L’ennemi assiége enfin le camp et ce dans une conformation pour le moins classique, les soldats sont à l’avant, les archers à l’arrière et les hallebardiers protègent les flancs. Du côté de nos alliés tous les archers sont sur ou au pied du rempart ouest pour transpercer la masse ennemie de leurs flèches. Les guerriers tiennent le mur, les lanciers la porte et leur cavalier se préparent à charger…mais pas tout de suite. De notre coté je tiens le flanc gauche avec trente cavaliers alors qu’Hilroy est à droite avec les trente autres. Le centre est occupé par Gondor et ses quatre-vingts hommes et Pamo se tient avec nos archers à l’arrière.
Pour le moment les défenseur tiennent bons. Les hommes du Rhûn s’effondrent sous les flèches ou sous l’épée du Gondor. Les archers ennemis font rarement mouche et certains hallebardiers prennent déjà leurs dagues pour monter à l’assaut des murs alliés.
Ce le moment pour nous d’agir. Mon épée jaillit hors du fourreau, mon cheval se cabre et je hurle. Les hommes reprennent mon cri qui gonfle et s’élance au devant de nous vers nos ennemis qui se retournent pétrifiés par une telle clameur. J’imagine ce à quoi nous ressemblons pour eux, une charge interminable qui sans cesse jaillit depuis le sommet de cette crête. Leurs archers réussissent tout de même à se reprendre et à nous décocher une volée. Nos boucliers et nos armures nous protègent mais pourtant certains chutent déjà, les premiers d’une série que je n’espère pas trop longue. En bas les hallebardiers qui avaient gardé leur arme sont venus faire front face à nous. Mais le nombre des ennemis est tellement important que les cent cinquante hallebardier encore équipés forment seulement un mince ruban autour de cette masse grouillante.
Au moment où nous atteignons la moitié du chemin qui nous sépare des ennemis, Hilroy et moi-même immobilisons simultanément nos deux flancs. Nous sommes encore plus exposés aux flèches comme ça mais les archers ennemis devenus la cible de nos archers alliés ont d’autres problèmes. Cette tactique pour le moins étrange, je le concède permet aux Gondoriens du centre de surprendre nos ennemis sur un centre pas assez défendu. Sans compter que Pamo et ses archers qui suivent les chevaux du Gondor viennent d’envoyer une volée sur la première ligne de défense du centre et la deuxième n’a pas eu le temps de se reformer que déjà le poids du Gondor les écrase. Ces quatre-vingt cavaliers massacrent tout ce qui est à leur portée…hallebardiers, archers et enfin soldats. Puis lorsqu’ils atteignent la porte du camp les défenseur ouvrent celle-ci comme convenu et ce juste le temps de laisser passer les cavaliers. L’ennemi est réellement scindé en deux et sans leur laisser le temps de se reformer Hilroy charge sur la moitié droite et moi sur la gauche tandis que les archers de Pamo rompent leur formation et se disperse tout autour du champ de bataille, ne cessant de tirer et de se déplacer.
Evidemment deux charges de trente hommes sont encore bien peu de choses face à la multitude qui tient bon. Ce qui restait des hallebardiers reçoit notre choc, des deux côtés la situation est identique. Les ennemis étaient en reformation et n’ont pas pu absorber le choc comme ils auraient du le faire. Il n’y plus aucun hallebardier avec son arme en main, tous sont tombés où ont pris leurs dagues. Nous sommes immobilisés dans la masse des soldats qui se sont en majeur partie détourner vers nous et abandonnant l’assaut de la porte et des murs. Les archers ennemis ne savent plus nous atteindre dans la mêlée et ils ont donc eux aussi abandonné leur arme pour se battre au corps à corps.
Jusqu’à présent les défenseurs ont du abattre quelques cent cinquante ennemis et ont sans doute du subir quelques pertes eux aussi mais je ne peux pas les évaluer pour le moment. La charge à travers le centre à du balayer une centaine d’ennemis tout au plus et notre propre charge un peu près autant. Les moitiés des assiégeants ont mordus la poussière mais ce qu’il en reste s’est de nouveau réuni en une masse extrêmement compact laquelle ne va pas tarder à achever tous mes hommes.
Nous nous battons avec ardeur mais il sont tous simplement trop nombreux. J’ai déjà perdu douze hommes sur mes trente et Hilroy semble en être à peu près au même décompte. Au moins nos archers sont à l’abri, plus personne ne s’occupe d’eux bien qu’ils fassent du dégât mais ça ne suffira pas. L’important pour l’instant est de rester en selle, sinon jamais ne nous pourrons nous sortir de là. Le combat est intense, je sens mes hommes se regrouper autour de moi malgré tout alors que moi-même je tranche et coupe tout ce qui passe à portée de mon bras droit alors que sur ma gauche mon bouclier encaisse les coups et les donne certaines fois. Mon cheval commence à paniquer et à tourner en tout sens, ça a pour effet d’éloigner les ennemis pour l’instant je ne m’en plains pas. Je vois alors un ennemi bondir extrêmement haut sur ma gauche, il va me retomber dessus. Je lève mon bouclier et passe mon épée de bronze au dessus pour transpercer mon assaillant alors que celui-ci se réceptionne sur le bouclier. Je sens mon épée traverser son crâne et je la sens aussi y rester plantée lorsque la dépouille ennemie rejoint le sol.
L’aube…me trouve désarmé, mon épée gisant jusqu’à la garde dans un cadavre que mon cheval piétine déjà. Le moment idéal pour ce qui va suivre. Les portes du camp s’ouvrent et les septante cinq cavaliers résidants dans le camp chargent comme l’avaient fait leurs camarades mais bien évidemment en sens inverse. Ainsi le champ de bataille est de nouveau scindé en deux pendant que les portes se referment déjà. Dans la confusion qui s’en suit nous réussissons à nous extraire de la mêlée. Onze hommes sont encore avec moi et quatorze avec Hilroy. Nous rejoignons les Gondoriens sur la colline d’où nous avions lancé notre charge. Les Orientaux au nombre d’un peu plus de deux cent se tournent alors pour nous faire face, de toute façon cela fait un moment que ceux du camp n’ont plus de flèches à tirer. Décidément ce coup-là marchera toujours…le plan continue, les portes du camp s’ouvrent encore une fois et ce qui reste des cavaliers de la première charge vient transpercer le dos des orientaux puis nous rejoignent sur la crête. Cette fois ci les portes ne se referment pas, les lanciers du Gondor viennent affronter les cent cinquante ennemis restant. Ces derniers sont complètement perdus, pris entre deux feux. Certains tendent de fuir le combat, mais pas question d’en laisser un seul en vie. A la tête des mes hommes, eux-mêmes chargeant devant ceux de Gondor, nous filons vers ce qui reste des ennemis pour la charge finale. Un de mes soldats m’a donné son épée. J’ai été étonné de voir que lui-même avait encore sa lance et de plus se battait toujours avec. En général dès la première charge la lance se brise et les épées sont tirées. Quoi qu’il en soit il m’a dit qu’il n’aurait pas besoin de la sienne et je l’utilise donc pour tailler ce qui reste des Orientaux. Le combat dure encore quelques minutes et bien vite c’est la déroute, ils fuient vers le sud et Pamo et ses archers les pourchassent alors de leurs flèches.
Une nouvelle victoire…ce qui reste de mes hommes hurlent leur joie, tous ont cru y passer cette nuit. Leurs cris résonnent sur le champs de bataille, c’est mon nom qu’ils scandent, leur cri de guerre : « Scarfel, Scarfel, Scarfel ! » Alors que les hommes du Gondor reprennent ce cri en remerciement pour le Rohan moi je touche la cicatrice que j’ai à la joue…elle saigne, j’ignorais que les cicatrices pouvaient se rouvrir.
Quoi qu’il en soit l’heure n’est pas encore au relâchement. Nous ne savons toujours pas d’où provenait ce cor orc, si ça se trouve trois cents orcs peuvent encore nous tomber dessus. Nous nous retranchons donc dans le camp. Au final il me reste vingt quatre de mes soixante cavaliers. Un seul est tombé lors de la dernière charge, celui qui m’avait donné son épée…j’ai vu sa dépouille, il gisait sur sa lance brisée. Parfois l’assurance que l’on arbore n’est qu’un moyen d’étouffer sa peur. Aucun de mes trente archers n’est mort et bien sûr je ne sais toujours pas ce que sont devenus Gahma et ses dix hommes. Parmi les Gondoriens ils restent quatre-vingt trois guerriers, septante six archers, soixante neuf lanciers et cent treize cavaliers. En temps normal ça serait bien assez pour affronter trois cents orcs mais vu notre état d’épuisement tout peut arriver.
Il semblerait pourtant que nous ayons eu notre lot d’épreuves pour aujourd’hui car ce que nous apercevons au sud c’est un petit groupe de cavaliers…Gahma et ses dix hommes. Je sors du camp avec mes soldats et nous nous dirigeons vers eux. Gahma porte autour du cou un cor orc et m’explique qu’ils sont tombés sur trois éclaireurs orcs au pont. Il a jugé qu’il était bon de sonner dans ce cor…par tous les chevaux il ne sait pas à quel point!
La moitié du jour…nous prenons congé de nos alliés et les laissons reconstruire leur camp tandis que nous même repartons vers le sud reconstruire le pont incendié. J’envoie quelques messagers vers Edoras pour annoncer notre victoire et nos pertes à mes officiers supérieurs. Tandis que nous nous dirigeons vers le sud, droit vers le soleil de midi, un grand nombre de pensées assiégent mon esprit fatigué. Je suis encore une fois fier de mes hommes. Beaucoup sont morts et les Gondorien ont promis de leur donner une sépulture décente mais ceux qui ont survécu sont devenus plus forts et il en est de même pour moi. La guerre est quelque chose de terrible et je deviens de plus en plus doué à ce jeu là…Je ne peux faire qu’espérer que cela dure même si mon problème le plus urgent serait de me trouver une épée…Voilà que je me fais rire moi-même, allons ce pont ne va pas se reconstruire tout seul.

*essaye d'attirer l'attention*

lol, je te corrige...

alors, alors ...

action : 18, superbe, magnifique, excellent....
réalisme : 18, superbe, magnifique, excellent
longueur : 19, ...
ortho : 19, 4 fautes en tout

je te donne une mission dans 5 minutes, ne refais pas ta carte !

haha !
je t'ai concoctée une jolie mission

De retour vers Edoras, tu apperçois l'armée des orcs qui devait arrivé en renfort. Tu remarque également qu'il n'y a pas que des orcs, mais aussi des Haradrims. Aussitôt, tu retourne à la forteresse du Gondor pour les prévenir et tu envois des messagers demander de l'aide aux elfes. Tu devras tenir un siège, prépare bien tes défenses...

bien :-toi et le reste de tes hommes
-83 guerriers du Gondor
-76 archers du Gondor
-69 lanciers du Gondor
-113 cavaliers du Gondor
(renforts des elfes) -Cilaër, au côté duquel tu as déjà combattu, 200 guerriers elfes, 250 archers elfes, 100 lanciers elfes, 300 cavaliers elfes

Mal :-350 guerriers orcs
-150 lanciers orcs
-200 archers orcs
-150 cheuvaucheurs de ouargue orcs
-200 guerriers ourouks du Mordor
-10 trolls des montagnes
-100 lanciers haradrims
-50 tirailleurs haradrims
-150 archers haradrims
-5 mumakil
-3 tours de siège (chacune manoeuvrée par 2 trolls)
-une vingtaine d'échelles (portées par 4 orcs)
-6 catapultes du Mordor (manipullés par 4 orcs)
-3 beliers portés (par 10 orcs)

Ca c'est de la mission !!!! ne me déçoie pas !

p.s. tu n'as pas gagné d'argent avant, et tu n'acheète aucun équipement suplémentaire.

Bon ben je m'y mets ^^

Barbare comme mission !

woaw ! fait une bien belle mission car avec ca ya moyen !

Sa va être de la boucherie !