Nim Sparfel

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval
-Lieu de résidence : Un village à proximité de Dunharrow
-Grade: Simple soldat
-Groupe : 7 Cavaliers + 8 Archers à cheval
-argent restant: 750

Je n'ai encore fait aucun mission, je suis pret à commencer

Bienvenue!!

Ok, ta mission arrive dans moins de 10 minutes

Des ourouks-haï d'Isengard saccagent l'OestEmnet. Massacres-les tous avant qu'ils ne fassent trop de dégats.

Bien :-toi et tes hommes
-50 cavaliers du Rohan
-45 archers à cheval rohirrim

Mal :-30 guerriers ourouks de l'isengard
-40 lanciers ourouks
-40 arbaletriers ourouks

Je m'y mets de suite

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval
-Lieu de résidence : Un village à proximité de Dunharrow
-Grade: Simple soldat
-Groupe : 7 Cavaliers + 8 Archers à cheval
-argent restant: 750


Première mission



Des ourouks-haï d'Isengard saccagent l'OestEmnet. Massacres-les tous avant qu'ils ne fassent trop de dégats.

Bien :-toi et tes hommes
-50 cavaliers du Rohan
-45 archers à cheval rohirrim

Mal :-30 guerriers ourouks de l'isengard
-40 lanciers ourouks
-40 arbaletriers ourouks



Le jour se lève doucement, je n’ai pas dormi de la nuit. Je me nomme Nim Sparfel ou encore Fils-de-Spar. Mon père était un grand guerrier dont tout le village est fier et en tout logique les autres jeunes gens m’ont élu pour être leur chef à la bataille. Je n’ai pas vingt ans et aujourd’hui je vais me battre pour la première fois. C’est le cas de tous ici, ces quinze hommes avec qui j’ai partagé mes jeux d’enfants. Mais nous sommes prêts, nous avons été élevés dans l’art de la guerre et plus que tout autre je n’ignore rien de nos techniques ancestrales de combat.
Nous allons rejoindre les cavaliers des villages environnants. Au total nous seront un peu plus d’une centaine et la renommée de mon père est telle que tous se sont mis sous mon commandement. Je n’en décevrais aucun. Je commande ces hommes pour cette bataille mais je ne suis qu’un simple soldat au service du Rohan. Rohan qui aujourd’hui fait appel à nous. La raison pour laquelle nous sommes rassemblés ici est la présence d’une troupe d’Ourouks Hai dans le pays qui ravagent, pillent et tuent.
D’après ce que nous en savons leur nombre est un peu près identique au nôtre. Nous sommes sans doute moins aguerris qu’eux mais j’ai la présomption de croire que nous sommes plus intelligents qu’eux et je sais parfaitement que nos chevaux nous fournirons un avantage certain face à eux, simple infanterie. Le problème c’est qu’ils le savent et qu’ils ont beau ne pas briller par leur malignité je crains qu’ils se soient préparés à parer notre cavalerie.
Après une longue marche je me retrouve à l’avant de notre troupe avec mes quinze soldats en tant qu’éclaireurs et bientôt l’ennemi nous apparaît avec derrière eux les ruines encore fumantes d’un village. Nos informations sur leur nombre étaient correctes…tout comme mes appréhensions. Ils s’attendaient à rencontrer des cavaliers, une rangée de lancier entoure leur troupe en marche toutes lances dehors attendant notre charge. Ce ne serait pas un problème puisque nous avons nos archers si eux-mêmes ne comptaient pas dans leurs rangs des arbalestiers. Ces tireurs se trouvent à l’arrière du convoi tandis qu’à l’avant marchent les simples fantassins et leurs épées mortellement reconnaissables. Ils marchent dans la plaine est je sais qu’avec une bonne stratégie nous pourrions obtenir une éclatante victoire.
A côté de moi se trouve Venato, c’est mon second et mon meilleur ami depuis mes premiers jours. Il est bien plus fort que moi alors que je suis plus réfléchi que lui, néanmoins à de nombreuses reprises ses réflexions m’ont permis d’entrevoir les situations sous d’autres angles. Je discute alors longuement avec lui tout en m’assurant que nous soyons tous dissimulés derrière les collines herbeuses, dans notre plan la surprise est primordiale. Après presque une heure de réflexion nous sommes prêts. J’ordonne aux hommes de se placer selon notre plan tandis que Venato prend le commandement d’un vingtaine de cavaliers et part au loin contourner l’ennemi par derrière alors que je prends place avec le reste de l’armée sur leur flanc gauche.
L’important est de neutraliser les tireurs, la première attaque, celle qui les surprendra, sera donc dirigée vers l’arrière de leur compagnie. Nous suivons leur lente progression en laissant le temps à Venato d’aller se placer sur leur côté droit. Ils sont maintenant extrêmement proches de la colline derrière laquelle je me trouve, ce qui m’arrange fortement, mais leur propre brouhaha les empêche de nous entendre. Alors au moment que j’estime judicieux nous passons à l’attaque.
Je charge avec à mes côtés une dizaine d’autres cavaliers armés de lances et derrière moi une autre partie de la troupe. Je suis le seul à porter une épée, sans savoir pourquoi j’ai toujours préféré l’épée à la lance. Nous sommes trop près d’eux et ils n’ont pas le temps d’armer les arbalètes par contre les lances sont maintenant pointées vers nous. C’est la raison pour laquelle la première ligne que nous constituons se scinde soudain en deux et vient se replacer dans la cavalerie en charge découvrant ainsi une rangée d’archers à cheval qui a bien vite fait de faire pleuvoir sur nos ennemis une pluies de flèches qui ouvre dans cette barrière de lances un espace aussi large que cinq charrettes juste au niveau des arbalestiers. Espace vers lequel notre dizaine file désormais avec dix autres alors qu’à leur tour les archers se sont écartés pour nous laisser passer. Nous ne sommes plus qu’à quelques mètres, les carreaux des arbalètes ne sont toujours pas prêts et les lanciers n’auront pas le temps de reformer la ligne mais les Ourouks ne sont pas au bout de leurs peines. De l’autres côtés de la plaine arrive Venato et ses vingt cavaliers et les lanciers qui normalement auraient du les arrêter se déplaçaient en ce moment même vers le côtés gauche pour reformer la ligne. En bref quarante hommes se chargent vers les tireurs qui sont maintenant à découvert, vingt à gauche et vingt à droite. Soudain c’est le choc, nous les traversons à toute vitesse. Mon bras s’abat plusieurs fois tranchant au hasard. Nous croisons Venato et les autres en sens inverse et bien vite nous les dépassons et chacun des deux groupes se retrouve de l’autre côté. Les orcs n’ont pu tirer aucun carreau et aucun n’en tirera, tous sont à terre ou briser. Nous ne leur laissons pas le temps de réagir, sur le flanc gauche tous nos archers tirent et se dispersent pour les encercler. Nombreux sont nos ennemis qui alors tombent. Cependant ils ont fini par s’organiser et alors que leur nombre n’excède que de peu la cinquantaine un cercle de boucliers tenus fermement les protègent des flèches. Nos archers cèdent la place tandis que nous nous regroupons.
Nous avons subit au total une dizaine de pertes parmi les cavaliers, nous ne sommes plus que quarante. Un coup d’œil rapide m’apprend que mes compagnons ne font pas partie des perdus, j’en suis égoïstement ravi. Les Ourouks ont abandonnés les lances, il n’y a plus que des épées face à nous, ils se sont redéployés pour supporter une charge unilatérale. Je me dis que c’est la meilleur des solutions mais je leur réserve une dernière surprise.
Tous chargent avec moi et mon second à l’avant tandis que les archers se sont disposés sur nos flancs et conformément à mes ordres envoient une premières salve de flèches qui ne tuent que deux ou trois ennemis encore sous la protection de leurs boucliers. Mais alors que notre charge arrivent à quelques mètres d’eux ils sont bien obligés de tourner leurs armes dans notre direction et c’est à ce moment là que les archers tirent leur seconde et fatale salve. L’opération est risquée puisque s’ils tirent quelques instants trop tard ils nous abattront nous mais pour ma plus grande joie leur tir était parfait. Vingt adversaires tombent sur le coup et le reste désorganisé et effrayé est balayé par notre charge. Je suis couvert du sang des ennemis que j’ai abattus et alors que je calme mon cheval après avoir traversé de part en part la troupe ennemie je sais que chaque homme encore debout à côté de moi ressent la même chose que moi, désormais nous sommes des soldats.
Les Ourouks qui ont survécus à la charge sont abattus par une troisième est dernière salve. Les hommes hurlent leur joie d’être vivants et victorieux et le décompte des pertes m’apprend que nous avons perdus cinq archers et ce bien qu’aucun n’ait été exposés, seulement ils arrivent parfois dans une troupe d’archers en mouvement qu’une maladresse surviennent et un camarade tombe. Mon décompte égoïste continue et exulte en apprenant qu’aucun des cinq n’étaient des miens. Les cavaliers ont plus grandement souffert. Au total vingt-trois sont tombés lors de nos deux charges, deux étaient de mes hommes…je n’oublierais jamais leur noms.
Je libère ces héros qui pour un temps m’ont eu pour chef. Groupes par groupes ils rentrent dans leurs villages et moi et mes treize compagnons restant en faisons autant. Dès mon arrivée, j’enverrais un courrier vers Edoras pour informer les gradés à Meduseld de notre victoire et de nos pertes.

woaw !!! sa ma l'airt d"etre une belle mission! elle est longue !! je vais la lire un peu plus tard

Me suis un peu emballé, première fois que je fais ça, on verra ce que ça donnera ^^

C'est vraiment géniale bravo!!

Merci à toi

WAOW !!!!

action : 18
réalisme : 19
longueur : 18
ortho : 19.5

Bravo !

Une telle missionmeritte bien plus que la misérable somme de 500 or, aussi je te récompense d'une prmotion : tu passe directement caporal, tu gagne 1000 or et je t'offre une cuirasse en cuir.

Encore une fois : BRAVO !!!

Là c'est moi qui dit Woaw! Merci beaucoup, j'ai hate d'en refaire une autre

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval + cuirasse en cuir
-Lieu de résidence : Un village à proximité de Dunharrow
-Grade: Caporal
-Groupe : 15 Cavaliers + 10 Archers à cheval
-argent restant: 1750

1 mission réussie

Dès que tu auras le temps je veux bien une autre mission, enfin rien ne presse

lol !!! tu m'a l'air bien baleze toi !

voila j'ai lu ton texte ce qui m'a pris un peu de temps !
on voit tout de suite que tu es agée de 19 ans ! c'est beaucoup mieu que nous a 15 ans lol !!

encore bavo !

Arafin wë j'ai que 12 ans moi pas 15

Mouarf je vais encore passer pour un vieillard ^^

19 ANS vieillard MDR!! Bon allez j'arrete le bla- bla sur ce topic!!

je te donne une mission dans 10 minutes

ouais 12 ans 15ans c le meme lol

mais c'est comme meme un veillard !

Mission :
Les hommes sauvages du pays de dun se rassembles entre la Rivière des Cygnes et le Glandin. Ils attendent encore quelque dizaines d'hommes, aussi nous allons leurs faire une surprise : je veux que le camp soit détruit et que tu sois partit lorsque les hommes attendus arriveront.

Bien :-toi et tes hommes
-50 cavaliers rohirrims
-40 archers à cheval rohirrims

Mal :-70 soldats sauvages de Dun (une épée en fer, une cuirasse en fer, un bouclier en bois)
-50 archers de Dun (un petit arc, une cuirasse en cuir, deux dagues moyennes droites)

Je suis chez ma copine là, je ferais ça un peu plus tard, merci pour la mission

Ouf, tes mission me font vachemnt pense a celle de loki !!! SUper

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval + cuirasse en cuir
-Lieu de résidence : Un village à proximité de Dunharrow
-Grade: Caporal
-Groupe : 15 Cavaliers + 10 Archers à cheval
-argent restant: 1750

1 mission réussie

Seconde mission:


Les hommes sauvages du pays de dun se rassembles entre la Rivière des Cygnes et le Glandin. Ils attendent encore quelque dizaines d'hommes, aussi nous allons leurs faire une surprise : je veux que le camp soit détruit et que tu sois partit lorsque les hommes attendus arriveront.

Bien :-toi et tes hommes
-50 cavaliers rohirrims
-40 archers à cheval rohirrims

Mal :-70 soldats sauvages de Dun (une épée en fer, une cuirasse en fer, un bouclier en bois)
-50 archers de Dun (un petit arc, une cuirasse en cuir, deux dagues moyennes droites)



Le messager n’avait pas traîné. Une lune n’avait pas eu le temps de passer que déjà arrivait un courrier d’Edoras. J’étais félicité pour le travail accompli et pour la réussite de cette première mission. En mon for intérieur je remerciais moi-même mes hommes et ceux qui avaient combattu à nos côtés, cette victoire était avant tout la leur.
En remerciement du service accompli j’étais nommé Caporal et une cuirasse en cuir m’était offerte en gage de bon volonté. Ce cadeau était le bienvenu car je dois avouer que je m’étais senti un peu nu sur le champs de bataille. Mais ce n’était pas les seules bonnes nouvelles qui venaient à nous. Des villages décimés par la troupe Ourouk Hai douze cavaliers nous avaient rejoint ce qui portaient notre nombre à vingt-cinq. Nous avions du élargir quelque peu notre vieux village pour accueillir ces nouveaux venus.
Nous partagions un repas tous ensemble, continuant de faire connaissance avec nos nouveaux compagnons et savourant un peu de ce calme mérité lorsque arriva d’Edoras un autre messager. Une nouvelle mission nous était donnée. Même si l’expérience marquait désormais chacun de mes hommes je senti en eux la même sensation qu’en moi, notre peur initiale ne s’était pas amoindrie, cependant je ressentais aussi une excitation, plus forte que lors de notre premier départ. Nous retournions au combat et certains percevaient déjà qu’il s’agissait là de l’histoire de toute leur vie.
Il nous fallait rejoindre une armée venue du gouffre de Helm qui nous attendrait sur notre route pour la Rivière du Cygne derrière laquelle se trouvait un campement des hommes de Dun, telle était notre cible. Alors que nous nous éloignons de notre village je me retourne pour l’apercevoir, peut-être pour la dernière fois, voilà ce que se dit sans doute chacun de ceux qui marchent derrière moi.
La jonction avec les autres Rohirrims est maintenant faite. Ils sont au nombre de nonante(= quatre-vingt-dix, je suis belge) ce qui porte finalement notre effectif à cent-quinze cavaliers. Les informations supplémentaires que me donnent ces hommes m’apprennent que nos ennemis sont légèrement inférieurs en nombre, qu’ils sont tous à pied et je note aussi les caractéristiques de leur armement.
Pendant que nous chevauchons vers le campement adverse je m’entretiens avec Venato. Les fantassins ennemis sont armés et vêtus de fer ce qui pourrait offrir une trop forte résistance mais leur boucliers sont seulement de bois, voilà ce qui pourrait renverser la situation, si de nos lances nous pouvons les briser et par là même occasion briser les bras qui les portent la victoire ne serait plus très loin. Leurs archers sont moins bien protégés mais ils portent avec eux des dagues ce qui veut dire qu’il nous faudra éviter une mêlée trop prolongée si nous voulons les charger.
La rivière est traversée dans de grandes éclaboussures et enfin nous sommes en vue du campement ennemis. Des tentes et une mince palissade en bois mais manifestement encore trop épaisse pour se fracasser sous notre charge et bien assez forte pour soutenir des archers que déjà nous apercevons. Une rapide reconnaissance faites par trois hommes discrets m’apprend encore qu’il n’y a que deux entrées dans ce campement circulaire et que l’entièreté des fantassins y est réparti, ils ont une confiance aveugle en leur murs. Après avoir longuement réfléchis et repensé toutes les données que j’avais à ma disposition un plan s’établit dans mon esprit, il implique beaucoup de risques pour mes hommes mais je les sais capables d’accomplir cette tache.
J’informe la troupe de mon plan et les fait se positionner selon leur rôle respectif. A Venato j’offre la charge de faire le siège de la porte qui nous fait face, il a avec lui trente des cavaliers et la totalité des quarante archers venus en renfort. Moi je m’éloigne avec mes hommes, dix archers et quatorze cavaliers, quinze si je fais partie du décompte. Les vingt cavaliers restant on pour directive de contourner le camp et d’aller se placer face à l’autre porte. Mon idée est celle ci : pendant que Venato fera le siège de la porte, la garnison ennemie va se recentrer sur ce point et affaiblir, voir rendre obsolètes les défenses des autres parties du camp. A ce moment je me serais faufiler près d’un endroit dégagé du mur et mes dix archers à l’aide de flèches enflammées abîmeront une portion de la palissade. Il ne faudra pas plus de quelques minutes d’incendie pour que le bois craque et puisse dès lors céder sous la charge de quinze cavaliers.
Nous n’avons que trop attendu, le soir tombe et dans le campement des feux s’allument ci et là. Je suis déjà à bonne distance du gros des troupes lorsque je sors de son fourreau mon épée de bronze qui reflète la lumière des feux de camp et envoie le signal de l’attaque à Venato. Conformément à mes ordres les cavaliers ne chargent pas, ça serait du suicide que d’aller se placer ainsi à portée des flèches ennemies. Ce sont les arches à cheval qui passent à l’attaque. Leur portée est un peu près la même que celle de nos ennemis mais ils sont bien plus rapide et évitent ainsi bien des flèches. Pour ce que j’en vois de là où je suis placé tout se passe à merveilles, les archers ennemis tombent sans faire trop de dégâts dans nos rangs, la porte et les murs avoisinants s’enflamment sous l’effet des flèches incendiaires et les ennemis se rassemblent vers cette porte, laissant moins d’une dizaine d’hommes à l’autre et au moins aussi peu d’archers sur le restes des remparts.
Nous contournons encore un peu ces murs de bois pour finalement trouver un endroit défendu par un seul archer qui ne nous a pas remarqués cachés que nous étions dans les bois extrêmement proches à ce niveau ci de la défense. Nous sommes d’ailleurs la dernière chose qu’il aurait pu voir,, transpercé qu’il est par trois flèches silencieuses. Les autres archers sont trop loin sur le mur pour avoir entendu sa chute. Dix flèches enflammées atteignent alors le bois qui bien vite s’enflamme. Ce qui évidemment attire deux archers, chacun d’un côté mais ils n’ont pas plus de chance de nous voir que leur défunt compagnons et déjà ils le rejoignent dans l’après vie. Personne d’autre ne semblent avoir détecter ce feu ce qui nous permet finalement d’enfoncer la balustrade et de nous faufiler dans le camp ennemi. A ce stade j’ignore comment se déroule l’affrontement à la porte mais de ce que j’en vois d’ici je peux dire qu’il continue. Nous louvoyons entre les tentes, abattant les quelques rares gardes que nous trouvons encore et atteignons finalement la seconde porte, gardée par huit hommes qui ne sont déjà plus que des cadavres grâce à une pluie de flèches et une charge. La porte est à nous et nous avons tout le loisir de l’ouvrir pour faire entrer dans le camp les vingt cavaliers qui attendaient encore de l’autre côté.
Nous voilà trente-cinq cavaliers et dix archers, archers à qui je donne la mission de continuer à parcourir le camp, d’abattre tous ceux qu’ils trouveront et d’incendier murs et tentes, avec tous les feux de camp ils ne risquent pas de se retrouver à court. Pendant ce temps là nous chargions déjà vers la porte assiégée et enflammée. Nous y trouvons cinquante dos, tous offerts à nos lances et nos lames. L’ennemi est balayé et n’offre presque qu’aucune résistance à cette charge. Des trente-cinq seuls trois sont tombés et déjà nous avons passé la porte qui s’est brisée dans notre élan et nous rejoignons Venato.
Il nous informe qu’une vingtaine de fantassins ont tenté une percée mais ils ont été balayer par notre cavalerie qui a tout de même été diminuée de six hommes. Nous apprenons aussi que la plupart des archers ennemis sont tombés et ce au prix de lourdes pertes parmi nous propres archers, des quarante il n’en reste que dix-huit. Mais ce sacrifice ne fut pas vain. Le mur est enflammé et disparaîtra dans peu de temps et leur archers suivants ont abandonnés leur arcs pour sortir les dagues et rejoindre ce que notre charge a laissé de l’infanterie. Au total c’est un peu plus d’un vingtaine d’hommes qui nous attendent l’arme à la main. Mais que pouvaient ils face à soixante cavaliers en charge. Les boucliers furent brisés et les ennemis abattus. Les dix-huit archers restant rejoignirent mes hommes pour les aider à bouter le feu au camp et bien vite il n’en resta que de ruines. Des cadavres ennemis nous fîmes un grand brasier et de nos compagnons tombés nous enterrâmes les corps dans une grande fosse commémorative.
Le jour se lève et mentalement je commence à rédiger mon rapport. Pas un ennemis n’a survécu, le campement n’est plus que cendre ; vingt-deux archers et neuf cavaliers sont tombés parmi les renforts et pour ma plus grande et égoïste joie aucun de mes compagnons n’a trépassé.
Une fois écrit je confie mon rapport à un des hommes venu de Helm et lui prie de bien vouloir porter cette missive à Edoras. Il me répond que c’est de toute façon là que lui et ses hommes devaient se rendre. Ainsi tout est pour le mieux et je retourne chez moi accompagné de mes vingt-cinq cavaliers qui déjà ont hâte de fêter la victoire.

belle mission, j'adore ton style
action : 18
réalisme : 18
longueur : 19
ortho : 19.5

tu gagnes 1000 or.

j'espere que t'aimes bien charcuter du gobelin car voila ta mission :
Des nains transportaient de l'acier entre Erebor et le Monts du fer, mais ce convoie a été attaqué et récupéré par des gobelins, qui le convoient à présent vers le Mordor. Récupère ce convoie à l'aide des nains. Ils t'ont promis une belle récompense si ta missions est une belle réussite.

Bien :-toi et tes hommes
-30 hacheurs nains
-10 lanciers nains
-30 lanceurs de haches

Mal :-60 épéistes gobelins
-55 archers gobelins
+8 chariots remplis d'acier.

Belle mission, tu as du talent...

Une fois encore merci, je posterais la prochaine un peu plus tard, je suis assez occupé ces temps ci

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval + cuirasse en cuir
-Lieu de résidence : Un village à proximité de Dunharrow
-Grade: Caporal
-Groupe : 15 Cavaliers + 10 Archers à cheval
-argent restant: 2750

2 mission réussie



Troisème mission


Des nains transportaient de l'acier entre Erebor et le Monts du fer, mais ce convoie a été attaqué et récupéré par des gobelins, qui le convoient à présent vers le Mordor. Récupère ce convoie à l'aide des nains. Ils t'ont promis une belle récompense si ta missions est une belle réussite.

Bien :-toi et tes hommes
-30 hacheurs nains
-10 lanciers nains
-30 lanceurs de haches

Mal :-60 épéistes gobelins
-55 archers gobelins
+8 chariots remplis d'acier.



Je n’arrive plus à reconnaître notre village. Autrefois il était paisible et routinier, la voilà rempli de guerriers et de fureur. Ces hommes qui hier encore étaient des enfants et moi avec eux sont maintenant à part entière des soldats et cela se sent presque dans l’air. Deux batailles sont passées sur nos corps et nos esprits et ils ne le savent pas encore mais une troisième les attend déjà. J’ai reçu l’ordre de mission ce matin. Nous allons aider les nains du nord à récupérer un convoi que les gobelins leur ont dérobé. Il nous faudra rejoindre nos alliés quelque part dans les plaines de Rhun. Les gobelins ont déjà bien progressé vers le Mordor et avec un peu de chance nous les aurons rattrapé avant Dagorlad. J’annoncerai la nouvelle à mes vingt-cinq cavaliers ce soir et demain dès l’aube nous chevaucherons vers l’est, la pire des destinations.
Nos chevaux paniquent quelque peu. Devant nous s’étend du nord au sud l’Anduin, le maître fleuve, frontière de notre patrie. Aucun de nous n’est jamais aller aussi loin et à partir du moment où nous aurons traversé grâce à un bac rapidement construit nous n’aurons plus que les anciennes cartes pour nous guider.
Comme tout semble différent. Les plaines arides de la rive orientale sont bien plus inquiétantes que les nôtres. Loin au nord ceux d’entre nous qui ont une meilleure vue aperçoivent les frondaisons de la forêt noire. Mais nous ne devons pas détourner notre attention de notre objectif. Il est impératif de trouver sans délai nos amis nains.
Tout à coup un nuage de poussière se dessine au loin, derrière un contrefort qui nous en cache la source. Sans doute est ce là nos alliés mais en terrain étranger nous ne pouvons prendre aucun risque. Je prends soin de nous placer contre le vent, ainsi la poussière soulevée par notre propre cavalcade disparaît dans notre dos tandis que la leur nous dissimule à leurs regards. Progressant de cette façon nous réussissons finalement à les distinguer. J’enrage en découvrant qu’il s’agit d’un groupe d’une dizaine d’orcs qui courent à toutes vitesses en direction du Mordor et de la Porte Noire. Ils ne nous ont toujours pas remarqués et nous arrivons dans leur dos. Appliquant l’adage qui dit qu’un bon orc et un orc mort je donne l’ordre à mes compagnons de passer à l’attaque avec moi. Nos archers en abattent la moitié alors que notre charge voit se coucher les derniers.
Une bonne chose de faite me dis-je alors…mais mon contentement passe bien vite. En y regardant avec attention quelque chose ne va pas dans l’amoncellement de dépouilles ennemies…je vois dépasser une barbe… « Par Nahar le premier des chevaux, dis-je, c’est un nain! Sortez le de là! » Mettant pied à terre je me jette aux côtés du nain qui respire encore faiblement. Avant de succomber à ses blessures il a le temps de me dire qu’il faisait partie du groupe qui devait nous retrouver mais que parti en éclaireur il a été capturé et que se sentant menacé le groupe à continuer tout droit sans plus attendre.
Pour la première fois depuis que je me bats une réelle panique s’empare de moi. Nos alliés ne nous ont pas attendus. Je remonte sur mon cheval et le lance au galop aussi vite que je peux et ordonne à mes hommes de me suivre, nous n’avons même plus le temps de donner une sépulture descente à ce nain mort par notre faute. Je prie mes ancêtres de pouvoir rattraper ceux que nous venons aider, pas question de laisser un ami se battre seul.
Nous chevauchons plusieurs heures encore avant que par bonheur ou par malheur, je le saurais bientôt, une fois de plus s’élève devant nous un nuage de poussière. Nous les distinguons au loin, ce sont bien les nains d’Erebor mais ils ne nous pas encore vus. Bientôt la cendre soulevée par les sabots de nos montures nous cache la vue et au moment où nous devrions avoir rejoint les nains nous ne trouvons plus que le vide. La poussière retombe, je vois que nous nous sommes arrêtés au niveau d’un petit bosquet d’arbustes et de buissons mais aucun signe des nains. Soudain, comme venant de nulle part, une hache surgit dans les airs et vient se planter dans la poitrine d’un de mes soldats, un de ceux qui nous avaient rejoint après notre première bataille. Déjà mes archers sont prêts à tirer mais je les arrête d’un mouvement du bras et crie : « Nains d’Erebor nous sommes les Rohirrims envoyés pour vous aider à récupérer votre convoi d’acier, ne tirez plus! »
Des buissons surgissent alors toute l’escouade de nains. Un d’eux, vraisemblablement leur chef, s’approche de moi.
« Nous sommes navrés pour votre compagnon, me dit-il, les soldats sont nerveux dans ces régions reculées et nous vous avons pris pour des Haradrims »
« C’est un mort pour un mort, nous avons tué un de vos éclaireurs capturé par un groupe d’orcs. Nous ne l’avions pas vu. » Telle est ma réponse et elle clôt l’incident. Parfois on meure bêtement à la guerre, c’est ainsi et on y peut rien.
Le chef des nains m’apprend qu’en fait le convoi est loin derrière nous. Il s’avère qu’il est beaucoup plus lent que prévu, ces gobelins n’étant décidément que des bons à rien. Les nains ont donc décidé de le dépasser pour ensuite nous rejoindre mais après avoir perdu plusieurs éclaireurs ils se sont cru en danger et ont continué leur route. J’apprends encore que les nains sont une septantaine et nos ennemis près de cent vingt à protéger huit chariots. Comme à chaque fois lorsque j’ai toute les données en tête une foule de possibilités apparaissent dans mon esprit et enfin une me semble être la bonne…j’ai un plan! Plan que je soumets de suite au chef des nains pour savoir ce qu’il en pense.
Le gros problème dans cette attaque n’est pas vraiment le surnombre ennemi mais plutôt que dès le début du combat nous risquons de rater notre mission si les chariots réussissent à nous échapper. Notre premier objectif sera donc d’immobiliser les chariots. Pour cette mission je ne vois personne de plus indiqué qu’un lancier nain qui de sa force réussira à briser une roue. Il y a huit chariots et les lanciers sont au nombre de dix, c’est parfait nous trouverons bien un usage pour les deux derniers. Cependant pour réussir une telle opération il nous faut un endroit propice à une embuscade. Il apparaît que celui où nous nous trouvons est parfait. Sur une longueur suffisamment longue des buissons longent la route, les lanciers n’auront qu’à s’y dissimuler. Le chef est d’accord sur cette partie de mon plan et sur tout ce que je lui expose par la suite. Ainsi nous sommes décider, nous partons chacun mettre donner des instructions à nos hommes et les positionner pour l’attaque.
Je m’adresse à eux en ces termes. Je leur rappelle que l’ennemi se bat avec des épées et des arcs mais il nous faut considérer qu’ils progressent en bande désorganisée, les archers ne seront donc pas localisés à un certain endroit du convoi. J’ordonne à mes propres archers de ranger leurs arcs et de sortir les épées, pour cette charge qu’il nous faudra accomplir nous aurons besoin de tout le monde. Nous sommes camouflés dans un bosquet d’arbres quelque peu en retrait par rapport au lieu prévu pour l’embuscade, nous chargerons les ennemis par l’arrière.
Le rôle des nains est de lancer l’attaque et d’attirer l’attention de l’ennemi vers l’avant. Pour se faire les trente lanceurs de haches bloqueront l’accès, abattront l’avant-garde et progressons vers nous pour enserrer le convoi dans un étau entre eux et nous. Les trente hacheurs sont répartis également tout le long des buissons, pour soutenir les lanciers qui devront immobiliser la caravane.
L’ennemi approche et s’engage sur la route…ils dépassent les premiers nains embusqués et bientôt ils sont entièrement engagé, c’est le moment pour les nains de passer à l’attaque. Ce qu’ils font prestement. Une vingtaine d’ennemis s’écroulent à l’avant, abattus par une pluie de haches. Immédiatement le convoi se met en branle et les chariots tente de s’élancer mais les guerriers nains passent à l’attaque eux aussi et bien vite les huit chariots sont à l’arrêt. L’ennemi progresse vers l’avant du convoi. Les flèches sifflent et les épées s’abattent. Les quarante nains pris au milieu du convoi se défendent avec la dernière énergie mais que peuvent ils face à une centaine de gobelins déchaînés? Certains réussissent à s’extirper de là mais la plupart sont balayés mais pas sans faire de dégâts parmi nos adversaires. Tous les gardes des chariots sont vaincus et vingt autres sont tombés, ce qui laisse quatre-vingt gobelins fonçant vers les lanceurs de haches qui repoussent l’assaut par quelques haches lancées dans le vide mais ils ne tiendront pas longtemps.
C’est à nous d’agir, je lance mon cheval et sens derrière moi vingt-cinq autres en faire de même. Nous dépassons les premiers chariots abandonnés et au niveau du troisième nous tombons sur les premiers gobelins. Tous de dos, au milieu de leur propres cris ils n’ont pas pu nous entendre arriver, bref lorsqu’ils tombent ils n’ont même pas eu le temps de se rendre compte de notre présence. Nous en sommes au cinquième chariot, les ennemis se font plus nombreux et cette fois nous sommes remarqués. Mais ils ne sont pas encore assez pour nous arrêter. Sixième chariot, nous sommes la cible des flèches ennemies. Quelques uns tombent, je ne regarde ni ne compte, le temps des pleurs est pour après la bataille. Nous balayons ces archers meurtriers. Septième chariot, ils sont trop nombreux. Notre élan est stoppé et nous sommes jetés à terre. Mes cavaliers qui n’ont pas d’épée sortent leur dague ou ramassent les épées et haches qui traînent au sol et nous engageons une féroce bataille. Les gobelins nous encerclent mais nous sommes meilleurs qu’eux. Mon épée de bronze tranche et coupe. De nouveau des hommes à moi tombent, je reçois une flèche au niveau de la hanche, mon armure de cuir ne suffit plus. Cet affrontement tourne au massacre, je réussis à rassembler ce qui reste de mes hommes, une douzaine tout au plus, derrière le chariot que nous avons renversé mais cela n’arrête pas nos ennemis. Nous ne pourrons pas nous en sortir nous même. A ce moment précis j’espère que les lanceurs de haches ont survécu et vont bientôt arriver pour nous seconder.
Deux des mes hommes tombent encore. Je vois Venato se faire arracher l’épée des mains. Je viens abattre le gobelin qui le menaçait ce qui laisse le temps à mon second de ramasser une hache naine et de s’élancer dans la mêlée. De son imposante stature et de sa force titanesque il réussit à occire encore bien des gobelins mais dans sa fougue il est emporté loin de nous et désormais plus aucun de nous ne peux l’aider. Nous ne pouvons que le voir se battre comme un dément mais personne ne peut résister à un tel assaut pas même le plus fort des hommes. Jour maudit entre tous où j’ai vu tomber celui qui était le meilleur de mes amis. Je reverrais pour toujours la haine qui brillait au fond de ses yeux lorsque trois épées gobelines le transpercèrent simultanément. Cela ne l’arrêta pas tout de suite et il eut le temps de tuer ceux qui le tuaient mais ce furent là la dernière des choses qu’il fit. C’est les larmes plein les yeux que je vis encore tomber quatre de mes compagnons pour réduire notre nombre à cinq. Lorsque soudain je vis briller la première des haches naines. Elle tournoyait dans les airs et vient ouvrir en deux le crâne d’un gobelin qui s’apprêtait à plonger son épée dans le ventre d’un de mes hommes. Cette hache fut suivie par une multitude d’autres, les lanceurs avaient survécu.
Ce qui restait des gobelins tombait sous cette averse tranchante. Je vis une des haches abattre un archer ennemi qui me visait. Son tir fut dévié et en me jetant en arrière je sentis la flèche érafler ma joue. Je me retrouvai au sol, sans la volonté de me relever. Vu le nombre de haches qui me survolaient je concluais qu’une quinzaine de lanceurs avaient survécu. Tous les ennemis furent abattus. Plusieurs nains m’aidèrent à me relever.
Trois de mes hommes avaient survécu, je cherchai avec eux un cheval encore en état de nous porter. A proximité du septième chariot ce n’était que massacre et désolation. Autour de l’endroit où nous nous étions retranché gisait un cercle de gobelins morts avec ci et là un de mes hommes. Venato reposait parmi une montagne de cadavres ennemis. Et ce qui restait de la plupart de nos chevaux était éparpillé un peu partout. Finalement nous trouvâmes deux chevaux en état de faire le chemin. Avec l’aide de mes hommes je redressai un chariot qui fut vite réparé. Nous le vidâmes de son acier, y attachâmes les deux chevaux et j’y fit entasser le corps de mes hommes tombés, du moins ceux que je réussi à retrouver, ils méritaient d’être enterrer dans leur patrie. Une quinzaine de nains avaient survécu en tout et pour tout avec les hacheurs qui s’étaient retirés. Quand ils vinrent protester et réclamer ce chariot qui était leur je les conseillai de s’estimer heureux que je ne leur fasse pas payer plus cher le prix de leur avidité. Le chef des nains me regarda non pas avec fureur mais plus avec compréhension.
Nous reprîmes le chemin de chez nous dans notre macabre convoi. Je laissai les nains avec à peine assez de bras pour réparer et manœuvrer le convoi mais la zone était maintenant hors de danger.
Notre retour se fit sans histoire. Nous arrivons enfin à notre village et je sais au plus profond de moi que plus jamais je ne pourrais vivre ici. J’apporte pleurs et malheurs. La mère de Venato me maudit en frappant de ses poings menus ma cuirasse de cuir. Je supporte sans broncher ces coups que je reçois dans ma hanche blessée, ma souffrance n’est rien à côté de la leur. La cicatrice qui orne désormais ma joue est pour tous signe d’accablement. J’entends sur mon passage les gens me nommer Nim Scarfel, le balafré qui massacre leurs enfants.
Je pars moi-même pour Edoras y rapporter la « réussite » de ma mission. Mes trois soldats qui ont survécu décident de me suivre malgré les conseils des leurs qui leur enjoignent de ne rien en faire. Je ne sais pas si nous reviendrons un jour.