Nim Sparfel

waow !
impressionant !
j'ai pas le temps de corriger tout de suite, mais ce soir tu auras ta note

Entendu, par contre si tu pouvais déja me donner une idée de ma prochaine mission, comme ça je peux commencer, j'ai rien à faire aujourd'hui alors autant en profiter ^^

WOAW TU AS VU LA LONGUEUR DE TES TEXTE ??????

je peut déjà te dire avec certitude que tu gagne 1000 or et que tu passe caporal chef, et tu auras (peut-être) la récompense des nains après que j'ai corrigé la mission, ta mission suivante est :
Des orcs traversent en ce momment même l'Anorien en direction d'Edoras, va à leur rencontre, et tues les tous.
Bien :-toi et tes hommes
-15 cavaliers du Rohan

Mal :-70 soldats orcs
-50 archers orcs

Merci beaucoup loki


Oui j'avoue arafinwë, je me suis bien emballé sur celui là

magnifique.... j'en pleure encore
action : 19
réalisme : 18
longueur : 19, tu l'as dis toi-même : rien n'est parfais
ortho : 19.5, de mes yeux de presquepremière, je n'ai vu qu'une seule faute

tu gagne 1000 or ainsi que la récompense offerte par les nains : un bouclier d'acier et un casque en fer protège-nez, et tu passes caporal chef

Youpi! Merci pour tout ça

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval + cuirasse en cuir + bouclier d'acier + casque en fer protège-nez
-Lieu de résidence : Edoras
-Grade: Caporal Chef
-Groupe : 30 Cavaliers + 20 Archers à cheval
-argent restant: 3750

3 missions réussies



Quatrième mission:

Des orcs traversent en ce moment même l'Anorien en direction d'Edoras, va à leur rencontre, et tues les tous.
Bien :-toi et tes hommes
-15 cavaliers du Rohan

Mal :-70 soldats orcs
-50 archers orcs



La chagrin passe mais je ne serais plus jamais le même. Nous sommes arrivés à Edoras il y a trois jours et depuis je suis passé par toutes sortes de sentiments. A notre arrivée nous avons laissé nos quatre chevaux dans les écuries militaires pour ensuite rejoindre l’officier qui m’envoyait les ordres de mission. C’était la première fois que je le voyais. Lorsque je lui annonçai la réussite de ma mission j’étais encore accablé par la disparition de la quasi-totalité de mes hommes et cela c’est vu. Il m’a conseillé de cesser de pleurer mes morts, un officier doit savoir que chaque homme qu’il envoie se battre est un cadavre potentiel. Si je n’avais pas eu plus de sagesse que ça la dureté d’un tel accueil aurait fait de moi un assassin et de cet officier un cadavre bien plus que potentiel. Mais au fond de moi je savais qu’il avait raison et je devais moi-même me faire une raison…tant que je vivrais des hommes mourront sous mes ordres.
Il m’annonça encore que malgré des pertes bien lourdes ma mission était une réussite, pour cela j’étais nommé Caporal-chef et une escouade d’une cinquantaine d’hommes était mise sous mes ordres alors que mes trois compagnons survivants, Gahma, Hilroy et Pamo montaient en grade et devait me seconder dans ma nouvelle unité. Avant d’en dire plus il attendait l’arrivée d’un messager des nains pour savoir ce qu’ils avaient pensé de l’aide que nous leur avions prodigué. Je redoutais un peu l’arrivée de ce messager, vu le départ quelque peu brutal qui avait été le mien.
Mais mon impression sur le chef nain était bonne. Son regard avait été compréhensif, on voyait qu’il s’agissait d’un de ces vieux chefs de guerre qui ont vu milles morts. Ainsi les nains me félicitaient eux aussi et m’envoyaient même de nouveaux équipements. Je recevais un bouclier d’acier et un casque en fer. Cela faisait bien mon fer, ainsi protégé je n’aurais pas à remplacer immédiatement ma cuirasse abîmée.
Accompagné de mes nouveaux seconds nous sommes descendîmes dans les quartiers des cavaliers pour aller à la rencontre de nos nouveaux soldats. Ils n’étaient pas plus vieux que nous et leur expérience était un peu près identique à la notre. J’appris plus tard que certains d’entre eux avaient fait partie de la troupe que j’avais commandée lors de ma première mission contre les Ourouks. Depuis quatre jours donc que nous sommes ici nous commençons à mieux connaître nos hommes, nous nous sommes longuement entraînés avec eux et sommes même parti toute une journée pour manœuvrer dans la plaine pour voir si tout le monde réagissait assez vite à mes ordres.
Mais nous n’aurons pas plus de temps pour nous entraîner car déjà un nouvel ordre de mission m’est transmis. Je fais plier leur barda à mes hommes et tous nous désertons la caserne pour nous rendre à l’écurie, y sceller nos chevaux. Là-bas nous attendent quinze autres cavaliers, l’un d’eux me fourni les derniers détails sur notre nouvelle mission. Cent vingt orcs ont passé l’Anduin et se trouve en Anorien. Vraisemblablement ils se dirigent vers Edoras. L’armée pourrait n’en faire qu’une bouchée mais le Roi trouve que le moral du peuple est déjà assez bas comme ça et nous ordonne de ne pas laisser ces ennemis du Rohan y pénétrer. Ainsi donc nous allons nous battre à un contre deux pour éviter de mobiliser l’armée et effrayer les braves gens. Parfois ce genre de situation me ferait presque rire, si je n’avais pas sous ma responsabilité tant de vie.
Il nous faut nous presser et avec un peu de chance nous passerons le Glanhir avant eux. Ce sont des orcs ils ne voyagent et ne combattent que de nuit, ce qui m’arrange fortement car cela nous laisse plus de temps pour les rejoindre mais d’un autre côté nous avons plus de chance de les surprendre si nous les attaquons alors qu’ils sont en marche et non dissimulés quelque part dans les contreforts des Montagnes Blanches, ce qui signifie qu’il nous faudra les attaquer de nuit. Le trajet n’est pas long et bien vite nous voilà arriver à destination. Devant nous coule le Glanhir, frontière que notre pays partage avec l’Anorien, région du Gondor. Je m’étonne que les Gondoriens aient laissé aussi facilement passer une telle troupe à travers leur terre. Je regardais au loin le long des Montagnes Blanches vers Minas Tirith me demandant quelle tournure pouvaient prendre les évènements là-bas, lorsque soudain je l’ai vu… La lune pleine qui se levait sur cette fin de soirée et brillait au travers des nuages, nuages qui avec le vent qui se levait allaient bientôt disparaître. Ainsi en pleine nuit la rivière serait plus visible que toute autre chose.
Au moment où les quarante-cinq cavaliers et les vingt archers à cheval allaient traverser je les arrête. A l’approche d’une frontière les orcs voyageront sûrement sans lumière aussi nous pourrions les surprendre au moment où ils traversent la rivière puisqu’il n’y aura que cela de visible. Tout aussi rapidement que les autres fois un plan se dessine dans mon esprit. J’en informe mes trois seconds et les presse de placer en position les hommes, les orcs doivent s’être remis en route à l’heure qu’il est et si nos informations sont exacte c’est ce soir qu’ils passeront le Glanhir.
Nous avions plus ou moins prévu que notre attaque se ferait de nuit aussi chaque homme avait reçu l’ordre de se vêtir sombrement par-dessus son armure ce qui nous permis d’être quasi invisible au moment ou les orcs arrivèrent. La nuit était noire, la rivière avait des reflets d’argent et ces abrutis d’orcs arrivaient avec des flambeaux, on les aurait dit éclairés par milles soleils. J’avais eu tort de les surestimer mais cela faisait bien mon affaire, ils auront encore moins de chance de nous découvrir aveuglés qu’il seront par leur propres lumières.
Ainsi les premiers orcs pénétrent dans la rivière à partir de la rive est. Au niveau de la Grande Route de l’ouest la rivière n’est pas profonde et c’est pour ainsi dire un gué, l’eau ne dépassant pas le milieu de leurs cuisses. Nous leur laissons le temps d’avancer encore un peu et finalement Pamo à qui j’ai donné le commandement des archers leur donne le signal de l’attaque. Aussitôt vingt flèches choient sur les ennemis déjà engagés dans l’eau. C’est la panique pour eux, d’autant plus qu’aucune des flèches n’est venues de la même direction, mes archers montés s’étant dispersés des deux côtés de la rive. Les orcs cafouillent, certains voulant avancer et d’autres reculer. Ce qui nous laisse le temps de tirer encore une salve qui vient abattre d’autres ennemis. Finalement une décision est prise parmi les orcs et ils s’élancent vers l’avant, vers la rive ouest. Là où Gahma et quinze cavaliers attendent dans le noir pour charger. La plupart des orcs pataugent dans l’eau et sont bien incapables de faire quoique ce soit quand Gahma s’élance et les fauche, passant ainsi sur la rive est. Les ennemis encaissent le choc avec de nombreuses pertes et se trouvant toujours dans l’eau ils font demi tour pour faire face à une éventuelle deuxième attaque de Gahma. J’en profite pour charger à mon tour depuis la rive ouest avec quinze cavaliers, le dos des orcs nous est offert et nous venons y planter nos lances et nos épées. Nous passons sans accroc, ils ont vraiment été surpris, j’ai pu couper une tête et en trucider deux autres alors que mon cheval en a au moins renversé deux.
Nous sommes désormais trente cavaliers sur la rive est. Les orcs sont revenus de notre côté et se dirigent vers nous, ils pensent savoir où nous sommes et n’ont qu’une envie, nous tuer. Leur rage leur fait oublier les archers qui toujours dispersés réussissent à leur infligé une troisième volée au terme duquel ils ne doivent plus qu’être une cinquantaine, tous alourdis par l’eau et se reformant sur la rive est. Enfin leurs archers tirent, vers la position où ils pensent nous trouver mais évidemment nous avons bougés, et aussi en tous sens pour viser les archers montés. Mais il était plus tard que ce que je pensais et déjà à l’horizon quelques rayons viennent nous éclairer. Cette fois nous sommes repérés. Nos archers battent en retraite, ils sont trop exposés, isolés qu’ils sont. Cette fois les orcs nous foncent vraiment dessus et leurs flèches s’abattent sur nous mais nous levons nos boucliers. C’est pour moi l’occasion d’étrenner le cadeau des nains…En moi-même je remercie vivement leur art au moment où trois flèches viennent se loger dans l’acier de mon bouclier.
Mais ce qu’ils n’ont pas vu c’est nos quinze derniers cavaliers, les renforts d’Edoras, menés par Hilroy et qui attendaient sur la rive est, camouflés au bord de l’eau à une centaine de mètre de l’endroit où ils ont essayé de traverser. Hilroy charge et les atteint latéralement. Leur troupe est scindée en deux et déjà nous sommes sur la première moitié qui s’écroule sous les sabots de nos chevaux et sous le poids de nos lances. Je mets pied à terre et mon épée de bronze au poing je m’élance vers le second groupe mais Hilroy a eu le temps de faire demi-tour et vient écraser ce qu’il reste des ennemis. Je me retrouve mort de rire et l’épée en main sans avoir pu occir un seul de ceux là. Les quelques survivants s’enfuient vers l’est mais sont poursuivis par Pamo et nos archers qui déjà étaient de retour…et déjà ceux là ne peuvent plus être appelés survivants.
Après un rapide entretien avec mes trois lieutenants (quoique le terme soit un peu abusif, n’étant jamais moi-même que caporal-chef) j’apprend qu’un seul de nos archers manque à l’appel, il a été fauché par une des flèches hasardeuses des orcs. Parmi les cavaliers seuls neuf sont tombés sur l’ensemble de nos cinq charges, ce qui nous fait cinquante-cinq survivants et dix de perdu pour cent vingt ennemis abattu. Notre meilleure mission depuis le commencement. J’envoie de suite deux des cavaliers qui sont le moins épuisés vers Edoras avec pour seul message ces quelques mots : « Aucun de ces orcs là ne pourra jamais passer sur la rive ouest du Glanhir, nous rentrerons bientôt avec plus d’informations. Caporal en chef Scarfel. »
J’ai finalement adopté ce quolibet comme nom de guerre, j’ai dit à mes hommes de m’appeler ainsi, que cela me serve à ne jamais oublier d’où me vient cette cicatrice et à qui je dois d’être en vie ici et aujourd’hui.
Les hommes sont épuisés, nous montons un humble campement pour nous reposer quelques heures et ceux qui s’en sentent le courage montent la garde avec moi. Avant que le soleil Anar ait parcouru la moitié du ciel nous partirons pour Edoras, victorieux, une fois encore.

Une immense amée du Rhûn est en route vrs le Gondor. Des renforts vont t'être attribués pour intercepter cette troupe. Arrêtes-les en terrain dégagé : les terres brunes.

Bien :-toi et tes hommes
-200 cavaliers du Rohan
-250 archers à cheval du Rohan
-200 cavaliers du Gondor

Mal :-400 hallebardiers du Rhûn
-300 soldats du Rhûn
-300 archers du Rhûn

Mouarf un combat à grande échelle, on va rire

Quand tu auras le temps de corriger ma mission, n'hésite pas parce que j'ai déja la suivante de prête

belle mission, bien que de qualité inferieur aux précedentes
action : 17, moins de descriptions guerrières qu'à ton habitude
réalisme : 18
longueur : 19
ortho : 18, 4 fautes en tout

tu gagne 1500 or

Da je sais, j'étais moins inspiré sur celle ci et celle qui vient est encore pire à mon gout m'enfin tu me diras quoi

-Nom : Nim Sparfel
-Camp : Bien
-Race : Rohirrim
-Talent : Cavalier(habile) - Epéiste (apprenti)
-Équipement : Epée simple en bronze + cheval + cuirasse en cuir + bouclier d'acier + casque en fer protège-nez
-Lieu de résidence : Edoras
-Grade: Caporal Chef
-Groupe : 30 Cavaliers + 20 Archers à cheval
-argent restant: 5250

4 missions réussies


5 ème mission

Une immense amée du Rhûn est en route vrs le Gondor. Des renforts vont t'être attribués pour intercepter cette troupe. Arrêtes-les en terrain dégagé : les terres brunes.

Bien :-toi et tes hommes
-200 cavaliers du Rohan
-250 archers à cheval du Rohan
-200 cavaliers du Gondor

Mal :-400 hallebardiers du Rhûn
-300 soldats du Rhûn
-300 archers du Rhûn



La Château d’Or brille au loin. Nous sommes de retour à Edoras et malgré l’heure matinale la capitale me semble bien agitée. Au niveau de la porte d’entrée nous tombons face à face avec un groupe de cavaliers en armes. Je les interroge pour savoir où ils vont ainsi armés et ils me répondent qu’ils partent à la guerre, le Gondor demande notre aide. Je ne m’attarde pas et je rentre dans la cité. J’envoie les hommes vers les écuries et leur demande de s’occuper de mon cheval ainsi que de ceux de mes seconds tandis qu’à quatre nous rejoignons les autres officiers. Ma première impression était la bonne. La ville est plus agitée que jamais et c’est encore pire dans les quartiers militaires. Je finis par rejoindre mon officier supérieur que je trouve extrêmement agité et qui m’informe que le Gondor requiert notre aide. Mille orientaux venus de Rhûn se dirigent vers eux et ils comptent sur nous pour les aider à les intercepter au niveau des Terres Brunes. Il me dit encore que nos alliés envoient deux centaines de cavaliers alors que notre Roi a rappelé le même nombre de nos cavaliers et deux cents cinquante archers montés pour la bataille. Et bien sûr notre unité fera partie de l’assaut. Entre deux nouvelles il me demande tout de même comment s’est déroulé ma mission et je lui apprend notre nouvelle réussite. Il me félicite vivement et me dit que nous devons être prêts à partir dans trois heures et nous trouver devant la porte d’entrée.
En route pour retrouver mes hommes et leur apprendre que nous pouvons déjà repartir risquer nos vies (comment vais-je leur annoncer ça, moi?) je réfléchis sur l’ironie de la situation. Moi et mes hommes nous revenons d’avoir été massacrer une centaine d’orcs que les Gondoriens ont sciemment laisser venir jusqu’à nos frontières et maintenant ces même Gondoriens requièrent notre aide pour aller nous battre en terre étrangère afin de défendre leur nation et pour ce faire ils envoient plus de deux fois moins d’hommes que nous. Mais enfin je ne me torture pas plus l’esprit avec ses réflexions politiques et je m’applique à expliquer aux hommes que nous partons sur le champ pour une bataille plus grande que toutes celles qu’ils ont déjà pu voir. Les chevaux sont changés ainsi que tout ce qui dans notre équipement peut l’être. Nous refaisons le plein de provisions et déjà nous sommes prêts à repartir. Le rassemblement se fait devant les murs de la cité. Il y a là cinq cents cavaliers de la Marche et nous sommes les derniers à arriver. Maintenant que nous sommes là nous pouvons nous élancer, le voyage est long jusqu’aux Terres Brunes et il nous faut encore retrouver nos alliés. Le signal du départ est donné par un long son de cor.
Voilà plusieurs jours que nous progressons sans cesse. Nous avons filé au nord-est pour atteindre l’Entalluve, la passer et ensuite traverser tout l’Est Emnet. Nous nous trouvons maintenant au niveau des méandres sud de l’Anduin, toujours sur la rive occidentale, c’est ici que nous avons rendez-vous avec les Gondoriens. Ils arrivent finalement à la nuit tombée et nous installons alors un vaste campement pour abriter les sept cents cavaliers ainsi réunis, tous ont bien besoin d’une bonne nuit de sommeil car demain nous traversons l’Anduin et pénétrons dans les Terres Brunes où si nos informations sont exactes nous trouverons nos ennemis.
C’est pour cette raison que je suis convié à une réunion avec tous les officiers dans la tente de commandement. Personne ne dirige vraiment cette mission, chacun ayant le commandement de ses hommes, c’est pourquoi il est impératif que nous nous coordonnions à la perfection. Il y a là deux officiers du Gondor, trois officiers rohirrims qui portent les couleurs des archers et cinq autres pour la cavalerie. Je suis venu seul, pas besoin de mes seconds pour représenter seulement cinquante hommes. Un héraut nous résume la situation: Nous allons intercepter une armée en marche d’un millier d’hommes. Pour ce faire nous sommes sept cents cavaliers ce qui devrait largement suffire pour les écraser mais l’ennui c’est que parmi ces hommes se trouvent quatre cents hallebardiers positionnés à l’avant et sur les côtés de l’armée (toujours en supposant que nos renseignements soient corrects et à jour) et qui ne manqueront pas de briser notre charge. Le reste de l’armée ennemie est constituée à part égale d’archers et de soldats à pied, les archers étant à l’arrière tandis que les soldats sont plutôt vers l’avant de la troupe en marche. Cette disposition n’est pas sans me rappeler mon premier combat contre les Ourouks mais là tout se passe à bien plus grande échelle. Nous restons tous songeurs pendant un moment, cherchant tous une stratégie d’attaque efficace. Bien vite il nous apparaît que quoi que nous fassions notre charge sera absorbée assez facilement par une masse si nombreuse, sans compter que les hallebardiers feront beaucoup de dégâts avant même que nous frappions et ils nous est impossible de les éliminer avec nos archers puisqu’ils sont eux mêmes protégés par leurs propres archers. Quoique nous fassions nous subirons de toute façons d’importantes pertes et de plus il ne faut pas penser à une attaque surprise. Comment pourrions nous dissimuler sept cents cavaliers? La décision est finalement prise de simplement les charger, ça sera un massacre mais nous sommes assez nombreux. Nos archers montés se placeront sur les côtés pour avoir une ligne de mire assez dégagée mais nous ne pouvons être plus tactique que ça.
Je rejoins ma tente et m’endors en redoutant la journée de demain. Journée qui arriva bien trop vite à mon goût, en effet j’ai eu l’impression que mon sommeil ne durait que depuis quelques instants lorsque j’entendis le carillon. Le jour de la bataille est venu. J’éveille mes hommes sur ce qui sera peut-être leur dernier lever de soleil et nous nous remettons en marche. L’armée traverse le fleuve à un gué non loin de l’endroit où nous campions et voilà que nous progressons dans les Terres Brunes. Il ne nous faut pas plus d’une heure ou deux pour apercevoir la poussière soulevée par l’armée ennemie. Nous nous arrêtons alors mais trop tard nos ennemis ont aussi aperçu la poussière soulevée par notre marche car eux aussi se sont arrêtés. Devant nous se trouve une pente légèrement inclinée qui descend vers une vaste plaine au pied d’une petite colline qui se trouve sur notre gauche. L’armée ennemie qui s’est remise en route arrive de l’autre côté de cette colline et vient se placer dans la plaine. Nous ne bougeons pas tandis qu’ils prennent position. Finalement leurs hallebardiers se sont tous mis à l’avant. Derrière eux et sur les côtés se trouvent les soldats tandis que les archers occupent le centre. On pourrait croire que notre position élevée nous conférait un avantage mais dans cette configuration nous serons plus longtemps sous le feu des flèches ennemies alors que nos propres archers auront plus de difficultés à ajuster leur tir. Nous nous sommes organisés pour une unique et puissante charge. Les archers montés occupent les flancs, Pamo et mes vingt archers sont quelque part dans la masse du flanc droit. Le centre est occupé par les cavaliers sur une longueur de cent chevaux. Les cent premiers sont des cavaliers du Gondor qui ont insisté pour être au premier plan. Derrière eux il y a les deux cents cavaliers du Rohan et pour terminer la charge la dernière centaine du Gondor ainsi que moi et mes trente cavaliers. Non pas que j’aie souhaité me retrouver à l’arrière mais il y fallait bien quelqu’un.
Sans plus laisser de temps à notre ennemi la charge est lancée. Sept cents chevaux s’élancent au galop et la terre tremble sous nos pas. Les Orientaux ne perdent pas de temps est déjà une pluie de flèches s’élève dans les airs à notre rencontre. Les boucliers sont levés est d’après ce que j’en vois de ma position reculée nous limitons les dégâts, nos boucliers ont une fois de plus prouvé leur utilité. Nos archers répondent alors, deux cent cinquante flèches s’élèvent et retombent. Ce sont principalement les archers ennemis qui sont tombés, eux n’avaient pas de boucliers; mais certains avaient visé les lignes de défense d’hallebardes et ont fait mouche. Ces piques mortelles n’ont pas eu le temps de se resserrer que déjà les soldats du Gondor sont sur eux. C’est un véritable carnage, la barrière d’hallebardes commence à s’effondrer mais seulement parce qu’elle est écrasée par le poids des cadavres des chevaux et de leurs cavaliers. Nos archers ont le temps de tirer une seconde fois sur leurs homonymes qui n’avaient pas eu le temps de se remettre mais nos tireurs doivent maintenant stopper leur élan et repartir en arrière ou sur les côtés si ils ne veulent pas se faire broyer dans la masse. Ainsi nos archers sont dispersés mais continuent à harasser l’ennemi. Mais c’est bien là la seule bonne nouvelle. Notre assaut a été absorbé bien plus vite que ce qui n’était prévu. Les premiers soldats de Gondor sont presque tous broyés et les nôtres sont maintenant à l’arrêt, certains ont déjà le pied à terre et se battent à l’épée.
Mais au mieux il reste huit cents ennemis alors que notre nombre n’excède sûrement pas de beaucoup les cinq cents et si nous devons tous les affronter à l’épée nous sommes perdus.
La deuxième ligne de Gondoriens et moi-même ne sommes même pas encore au contact et je comprend seulement maintenant que si jamais nous y arrivons ça sera là notre perte. D’un geste de la main j’arrête mes hommes et je crie : « Gondoriens si la victoire est votre but, arrêtez vous et suivez moi ! » Alors qu’ils allaient arriver au niveau des Rohirrims qui déjà se battaient avec férocité le Capitaine de Gondor qui commande ces cavaliers les arrête et me regarde. Je lui montre le nord, la colline qui surplombe le champ de bataille et lui fait le signe de la contourner. Il a compris et quand je m’élance suivit de mes hommes il lance ses propres cavaliers dans mon dos.
Le contournement de la colline ne prend même pas une minute mais ce sont des secondes terribles où à chaque moment je me demande ce qu’il restera des autres cavaliers lorsque nous réapparaîtrons dans le dos de nos ennemis. Enfin je vois le champ de bataille qui en fait comporte deux batailles. Dans l’une nos archers ont réussis à briser l’unité des archers ennemis et ceux-ci sont complètement dispersés eux aussi. Dans l’autre toutes les hallebardes sont tombées et tous les cavaliers sont à terre, l’épée à la main et l’on se bat à deux cents contre presque trois fois plus. Les combattants sont bien trop pris dans leur combat pour nous voir arriver. Plus tard on dira que c’est ainsi que je menai les cent trente cavaliers qui ce jour là transformèrent ce qui aurait pu être un échec cuisant et une victoire mémorable.
Le choc est rude mais nos ennemis ne nous attendent pas. Nous nous enfonçons dans la mêlée qui a manqué d’encercler les cavaliers rohirrims. Sur mon côté droit j’abats mes ennemis de mon épée de bronze et sur mon côté gauche je leur brise le crâne de mon bouclier nain. Bientôt mon cheval est à l’arrêt et je me retrouve à pied à me battre aux cotés des chevaliers de Gondor. Mes trente cavaliers désormais fantassins (enfin ce qu’il en reste) se réunissent autour de moi et nous combattons vivement.
Notre charge a sûrement tué plus de deux cents ennemis mais il en reste encore près de trois centaines. Ce qui fait que nous sommes désormais plus ou moins à égalité. Ceux qui pourraient régler le sort de cette bataille sont les archers mais ils sont maintenant trop loin pour que je puisse voir comment évolue leur combat. Des deux côtés le nombre diminue, certains de mes hommes tombent mais je remarque qu’ils s’en sortent extrêmement bien. La mêlée dure mais ils tiennent le coup. Et soudain arrive ce que tous, qu’ils soient Rohirrims, Gondoriens ou Hommes de Rhûn, attendaient…une flèche siffle dans les airs…qui est visé? C’est un Oriental qui tombe. Ce sont nos archers qui s’en sont sortis, ils ne sont pas plus de cinquante mais du haut de leurs chevaux ils n’ont aucun mal à viser nos ennemis. C’est la débandade, ils abandonnent le combat et fuient vers le sud mais nos archers les poursuivent et n’en laissent pas un en vie.
Le décompte des pertes nous apprend que trente sept Gondoriens ont survécu. Des deux cents septante archers engagés quarante huit sont en vie et treize de mes vingt font partie du nombre, Pamo a survécu et manifestement il a magnifiquement bien mené ses archers. Des deux cents cavaliers du Rohan il en reste cent vingt trois, vingt deux sont à moi et parmi eux Hilroy et Gahma sont toujours vivants. Aucun des mille ennemis n’a survécu.
Nous reprenons le chemin de la capitale. Une fois l’Anduin passé les Gondoriens continuent sur leur route et je salue une dernière fois le Capitaine qui m’a accompagné dans ma folie.
Avec un peu de chance nous atteindrons les bords de l’Entalluve cette nuit et nous y camperons. Nous serons bientôt de retour à Edoras où nos messagers nous aurons précédés pour annoncer la nouvelle de notre victoire, j’entends déjà les cris de joie des habitants lorsqu’ils nous verront revenir et je souris.

Voilà c'est pas fameux mais promis la prochaine fois je la ferai plus mieux

Moi je là trouve bien, sauve que toi tu te bat pas trop...

je te corrigerais dans l'après midi.

Hâte de voir sa note

Moi aussi

Ben on est deux...

Comme ça je ne patiente pas seul

Nous somme solidaire sur ce forum

Merci Averell, ça ma fait toujours plaisir


Et loki tu m'as oublié?

Il faut croire lol

bin quoi que tu en pense nim, c'est quand même une belle mission
action : 18
réalisme : 18
longueur : 19
ortho : 19

tu gagne 1500 or et tu passe sergent

mon humilité me tuera


Je suis prêt pour une nouvelle mission

Les elfes de la Lorien ont grand besoin d'aide. Une troupe de gobelin est en route vers leurs terres. Tu as dix jours pour atteindre le Lorien. Les elfes t'y confiront des troupes. Puis tu attendras les gobelins dans la vallée des rigoles sombres.

Bien :-toi et tes hommes
-80 cavaliers elfes

Mal :-100 cheuvaucheurs de ouargues gobelins
-40 épéistes gobelins
-40 archers gobelins
-3 trolls des cavernes

Je ne suis pas chez moi là mais je m'y mets dès que je rentre

J'attend impatiament