Quête de DraGion

Bah ouai... Je préfére que loki me corrige !

-Nom : DraGion
-Camp : Bien
-Race : Nains
-Talent : Hacheur habile, Lanceur de hache aprentit
-Équipement : hache double en acier, cuirasse en fer, 5 hachette, épée en fer, casque protége nez en fer
-Lieu de résidence : Mont solitaire, Erebor
-Groupe : 20 guerriers, 15 piquiers, 15 lanceurs de haches
-Grade : Niveau 3 - caporal-chef = 50 hommes - 1500 Or
-Argent restant: 3500 or

Depuis quatre jours nous sommes rentré des plaines du Rhûn, les pertes sont immenses, la plupart des lanceurs de hache et les quelques archers de Dale s'en sont sorti, une dizaine de phalanges et quatre gardiens sont vivant. Pour les elfes, sur les onze parti, plus que trois sont vivant. Des chefs de l'armée, moi et les deux autres sont vivant; seul Arafinwë est gravement blessé, mais d'après les médecins il s'en remettra; son message pour le Roi Daïn attendra. Mais après tous ces malheures, Daïn est tout de même fier de nous. Il nous tous félicité et à envoyer une épée en mithril à Netzphir pour avoir tenu l'alliance entre nos deux peuples. Quand à moi, je m'en sors plus que bien, le Roi d'Erebor ma fait monter de grade, me voilà caporal en chef, et cinquante nains m'accompagne à présent !

Mais les temps de réjouissance sont bientôt fini, un messager venu de terre lointaine propose une alliance au nains de l'Erebor. Ces hommes, un hommes du Gondor précisément à entendu parler de nous dans les veilles légendes, et ils nous demandent de l'aide. D'après lui une armée imposante d'orques et de trolls sont en marche vers une de leurs place forte. Les hommes sont en guerre partout dans leurs royaume et aucune aide ne peut leurs venir. Ils ont donc pensez à nous ! Daïn a accepté et bien sûr cette mission ma été confié, à quoi pense ces fous, ils nous faudrais plus ou moins quatre semaine pour arrivé là-bas. Leurs fort serait sûrement déjà pris entre temps. D'après l'homme nous avons cinq semaines, car les rôdeurs font bien leurs travail et les retiennes en Ithilien. Le calme est souvent troublé par des étrangers !

Mais hommes sont heureux, enfin étaient heureux car quand ils ont appris le nombre de lieu à parcourir, ils yen a plus d'un qui à protester ! Mais pour finir nous nous sommes mis d'accord et après des heures de préparation, nous sommes fin prêt pour le voyage. Nos familles nous saluent devant la porte du château, et après quelques signes de mains, nous nous dirigeons vers le Gondor, le messager à mes côtés pour me montrer le chemin. Après une heure, nous arrivons à Dale, nous décidons de traverser la ville pour allez plus vite, mais à peine sommes nous arriver à l'entrée que nous sommes accueilli par le capitaine Netzephir et cinquante archers; avec joie je me dirige vers mon amis et je l'interpelle :

"Capitaine, que faites vous là? Vous êtes du voyage peut-être"

"C'est avec plaisir que nous nous joignons à vous, grâce à notre dernière mission nos terres sont en sécurité pour un long moment. Mon Roi Brand nous envoie en remerciement à ce beau présent"

Le capitaine me montre la magnifique lame qui pend maintenant à son côté droit, et ces dans la joie que nous traversons Dale. Nous voilà aux nombres de cent !
Dale n'est déjà plus qu'un point derrière nous, nous marchons depuis plusieurs heures, nous nous arrêtons à la moitié du chemin d'Esgargoth et montons le camp pour cette nuit. Après un bon souper, la plupart des hommes se dirigent vers leurs tente, mais moi, Netzephir et le messager du Gondor nous attardons au feu où nous discutons de la futur bataille :

"Ils sont très nombreux d'après les rôdeurs, plus de huit cent guerriers orques et peut-être dix trolls ou même plus d'ailleurs. Dans la forteresse nous ne sommes que trois cent cinquante, cent cinquante archers, cent cinquante guerriers et cinquante cavaliers. Même avec les hommes présent ici, nous sommes en nombre très inférieur comparé à eux; à peine quatre cent cinquante !" Le messager parle d'une voix sans espoir, presque morte.

"Est la forteresse est elle puissante?" Que je lui demande.

"Ce n'est pas une gloire, mais elle peut tenir un long siège. Elle est carré, une seule porte, elle est en acier, les murs sont épais et deux archers peuvent marchés de front dessus. Je suis pose que les remparts pourrait contenir deux cent cinquante archers. En bref y'a peu d'espoir que nous gagnons !"

Sur ces derniers mots nous nous dirigeons vers nos tentes, où nous réfléchissons au sort que nous réservera cette bataille.

Depuis un quatre jours nous marchons, la ville du lac est déjà passé et au loin on aperçois la forêt noire. Seulement la penser de retraverser cette maudite forêt me donne des frissons, plus que trois semaines de voyage. Nous franchisons le sentier, directement nous sommes à moitié plongé dans le noir. La puanteur régne au coeur de c'est bois, nous sommes serré les un contre les autres. Les nuits, ou les journées ont ne sauraient le dirent s'enchaine, nous avons déjà franchi la rivière noir, plus que trois jours. La nuit de ce jour nous sommes attaquer par un groupe d'araignés, nous les repoussons avec quelques peine, c'est juste grace à leurs yeux brillant que nous les repoussons. Après deux autres pénible jours, nous voyons enfin la lumière, heureux nous courrons dehors !
Pendant plusieurs jours nous marchons vers la maison de Beorn, l'homme ours ! Mais après avoir rencontré quelques voyageurs ceux-ci nous déconseille de continuer par là. Nous choisisons donc de passer par tout la longeur des mont brumeux le seule chemin. Seulement le premier jours est épouissant, les autres sont pires, mais après deux semaines de dures labeurs nous arrivons à la forêt de Lorien, où nous ne restons que un jours pour prendre du repos et reconstituer nos vivres. Nous traversons le pays du Rohan où nous sommes arrêter par un capitaine qui se fait appeler Nim scarfel. Après un long interrogatoire, il nous laisse traverser en ligne droite les plaines du Rohan.

Voilà peut-être mon dernier poste, et comme répétais plus loin... Je poste ceci pour vous montrer que je travaillais

stp fais pas le con reste

stp par pas

j'écris celle-ci... !

elle est très grande, je pense que sa va être la plus grande du forum lOl, j'ai plus ou moins comme d'abitude, sauf que je suis à la première bataille et il en reste 1...

<Partie 1>

Depuis quatre jours nous sommes rentré des plaines du Rhûn, les pertes sont immenses, la plupart des lanceurs de hache et les quelques archers de Dale s'en sont sorti, une dizaine de phalanges et quatre gardiens sont vivant. Pour les elfes, sur les onze parti, plus que trois sont vivant. Des chefs de l'armée, moi et les deux autres sont vivant; seul Arafinwë est gravement blessé, mais d'après les médecins il s'en remettra; son message pour le Roi Daïn attendra. Mais après tous ces malheures, Daïn est tout de même fier de nous. Il nous tous félicité et à envoyer une épée en mithril à Netzphir pour avoir tenu l'alliance entre nos deux peuples. Quand à moi, je m'en sors plus que bien, le Roi d'Erebor ma fait monter de grade, me voilà caporal en chef, et cinquante nains m'accompagne à présent !

Mais les temps de réjouissance sont bientôt fini, un messager venu de terre lointaine propose une alliance au nains de l'Erebor. Cette hommes, un hommes du Gondor précisément à entendu parler de nous dans les veilles légendes, et ils nous demandent de l'aide. D'après lui une armée imposante d'orques et de trolls sont en marche vers une de leurs place forte. Les hommes sont en guerre partout dans leur royaume et aucune aide ne peut leurs venir. Ils ont donc pensez à nous ! Daïn a accepté et bien sûr cette mission ma été confié, à quoi pense ces fous, ils nous faudrais plus ou moins quatre semaine pour arrivé là-bas. Leurs fort serait sûrement déjà pris entre temps. D'après l'homme nous avons cinq semaines, car les rôdeurs font bien leurs travail et les retiennes en Ithilien. Le calme est souvent troublé par des étrangers !

Mais hommes sont heureux, enfin étaient heureux car quand ils ont appris le nombre de lieu à parcourir, ils y'en a plus d'un qui à protester ! Mais pour finir nous nous sommes mis d'accord et après des heures de préparation, nous sommes fin prêt pour le voyage. Nos familles nous saluent devant la porte du château, et après quelques signes de mains, nous nous dirigeons vers le Gondor, le messager à mes côtés pour me montrer le chemin. Après une heure, nous arrivons à Dale, nous décidons de traverser la ville pour allez plus vite, mais à peine sommes nous arriver à l'entrée que nous sommes accueilli par le capitaine Netzephir et cinquante archers; avec joie je me dirige vers mon amis et je l'interpelle :

"Capitaine, que faites vous là? Vous êtes du voyage peut-être"

"C'est avec plaisir que nous nous joignons à vous, grâce à notre dernière mission nos terres sont en sécurité pour un long moment. Mon Roi Brand nous envoie en remerciement à ce beau présent"

Le capitaine me montre la magnifique lame qui pend maintenant à son côté droit, et c'est dans la joie que nous traversons Dale. Nous voilà aux nombres de cent !
Dale n'est déjà plus qu'un point derrière nous, nous marchons depuis plusieurs heures, nous nous arrêtons à la moitié du chemin d'Esgargoth et montons le camp pour cette nuit. Après un bon souper, la plupart des hommes se dirigent vers leurs tentes, mais moi, Netzephir et le messager du Gondor nous attardons au feu où nous discutons de la futur bataille :

"Ils sont très nombreux d'après les rôdeurs, plus de huit cent guerriers orques et peut-être dix trolls ou même plus d'ailleurs. Dans la forteresse nous ne sommes que trois cent cinquante, cent cinquante archers, cent cinquante guerriers et cinquante cavaliers. Même avec les hommes présent ici, nous sommes en nombre très inférieur comparé à eux; à peine quatre cent cinquante !" Le messager parle d'une voix sans espoir, presque morte.

"Est la forteresse est elle puissante?" Que je lui demande.

"Ce n'est pas une gloire, mais elle peut tenir un long siège. Elle est carré, une seule porte, elle est en acier, les murs sont épais et deux archers peuvent marchés de front dessus. Je suis pose que les remparts pourrait contenir deux cent cinquante archers. En bref y'a un peu d'espoir que nous gagnons !"

Sur ces derniers mots nous nous dirigeons vers nos tentes, où nous réfléchissons au sort que nous réservera cette bataille.

Depuis un quatre jours nous marchons, la ville du lac est déjà passé et au loin ont aperçois la forêt noire. Seulement la penser de retraverser cette maudite forêt me donne des frissons, plus que trois semaines de voyage. Nous franchisons le sentier, directement nous sommes à moitié plongé dans le noir. La puanteur régne au coeur de c'est bois, nous sommes serré les un contre les autres. Les nuits, ou les journées ont ne sauraient le dirent s'enchaine, nous avons déjà franchi la rivière noir, plus que trois jours. La nuit de ce jour nous sommes attaquer par un groupe d'araignés, nous les repoussons avec quelques peine, c'est juste grace à leurs yeux brillant que nous les repoussons. Après deux autres pénible jours, nous voyons enfin la lumière, heureux nous courrons dehors !
Pendant plusieurs jours nous marchons vers la maison de Beorn, l'homme ours ! Mais après avoir rencontré quelques voyageurs ceux-ci nous déconseille de continuer par là. Nous choisisons donc de passer par tout la longeur des mont brumeux le seule chemin. Le premier jours est épouissant, les autres sont pires, mais après deux semaines de dures labeurs nous arrivons à la forêt de Lorien, où nous ne restons que un jours pour prendre du repos et reconstituer nos vivres. Nous traversons le pays du Rohan où nous sommes arrêter par un capitaine qui se fait appeler Nim scarfel. Après un long interrogatoire, il nous laisse traverser en ligne droite les plaines du Rohan.

Nous avons franchi l'Emyn-Muil, et nous marchons en possition de guerre vers la forteresse, au loin, nous voyons déjà s'élever la fumée de la guerre. Cent hommes et nains marche derrière nous, le temps passe, nous arrivons au terme de notre voyage, nous marchons jusqu'au dessus d'un coline et là à l'effroi de tous nous voyons un petit chateau assiéger par les orques. De où nous sommes, nous voyons les trolls qui tentent par tous les moyens de faire éfondrer la porte, appuyer par des catapultes et des béliers. Nous voyons des formes se mouver sur les remparts, les archers du Gondor lutte du mieu qu'ils le peuvent, le reste des troupes doivent être derrière les portes. Directement j'ordonne de contourner les troupes, les catapultes ne sont gardé que par un quarantaine d'orques; j'envoie nos troupes, les orques sont plongé dans leurs batailles, et ne comprenne pas la suite des action. Cinquante fléche et quinze hachette s'envolent vers leurs direction, aucun survivants, les autres orques sont absorbé par les archers ennemis et ne nous voient pas, je pense que sans cette intervension, nous ne serons pas là pour le raconter.

Dix de mes guerriers nains reprenne le controle des machines et les possitionne vers les archers ennemis, je place mes troupe en ordre de bataille, les catapultes sont chargés, et les haches sorti, les flèches encoché et je lance le signal, les rochers des catapultes s'écrassent dans les troupes ennemi pour de bon résultat, les flèches volent, et par trois fois nos actes sont répeté, cent cinquante guerriers orques, cinquante archers et deux trolls change de possition et nous charges, aussitôt une volée de flèche s'abbat sur les trolls, seulement un tombe et avant que les archers ai le temps de recharger, le troll est sur nous. Cette lutte commence, nous sommes à cent contre deux cent, la bataille va être rude ! J'ordonne aux piquiers de tenir le troll à distance, les archers s'occupe des archers ennemis et nous, à trente cinq contre cent cinquante guerriers orques.

Ma hache est rouge du sang de mes ennemi, mais nous avons bon résister, nous ne tiendrons plus longtemps. Un orque se jette sur moi, son épée s'entrechoque sur la hache, d'un geste de poignet je désarme mon ennemi, d'un balayage je le met à terre. Je léve ma hache est abbat le monstre, nous ne sommes plus que quelques gardiens, les piquiers contre le troll et des orques sont mort, mais pour de lourde perte pour l'ennemi. Les archers de Dale en ont fini contre les autres archers, et nous rejoignent avec des dagues, je fait sonner du cor et pour donner du courage aux troupes je crie :

"Mes amis, le temp est venu pour nous de quitter ce monde. Mais pour le quitter, autant emporter c'est puant avec nous ! Sonnez vos cor, et montrez à c'est chien de Mordor quesque c'est que les hommes et les nains d'Erebor !"

Sur ce dernier mot je m'élance dans la bataille, mais avant que je n'ai pu atteindre les premiers orques, je vois déferler d'une coline des cavaliers. Leurs charge est un miracle venu des dieux, les orques tombe à terre, transpercer par les lances des cavaliers. Avec ce dernier évenement en tête nous les rejoignons, les orques sont serré, ils ne sont plus qu'un cinquantaine. Le troll se dirige vers les cavaliers, mais il va payer avant pour mes piquiers et tous les autres morts. Le capitaine de Dale me suis, sont épée en mithril dans sa main et nous nous dirigons vers le troll, nous l'avons bien vite rattraper, mais lui nous à remarquer dans la foule et nous fonce dessus. Il léve sont gourdin et tante de me faucher, mais je m'abaisse au dernier moment, le capitaine est sur lui et le distrait. Je me place derrière le troll, le capitaine la touché à la jambe il s'abaisse, je saute sur l'occasion et grimpe sur le dos du troll, par quatre fois je frappe sur le crane du troll, et le cinquiéme coup son crane s'ouvre et le sang gicle partout.

Nous avons remporté la bataille, mais à de lourde perte, il reste toujours des orques et aux moins huit trolls. Le chef des cavaliers m'explique pourquoi ils sont là, ils sont sorti quelques heures avant la bataille, pensent pouvoir les prendres à revers, mais en voyant leurs nombre, cela aurait surement été signe de massacre. Ils m'explique qu'ils y'a encore plus de deux cent hommes dans la forteresse, et ici nous comptons combien nous sommes, nous sommes quatre vingt quatre, deux cent quatre vingt quatre contre plus où moins deux cent cinquante guerriers orques, cent archers, et huit trolls. Cette fois il y'a chance de victoire pour nous ! Les orques sont pris entre deux camps

en effet c'est long mais bien

vraiment super j'ai hate de voir la suite

Une correction Svp !

personne est la, c est devenu tristre, depuis que t'es plus la

j'ai peut etre une explication tandem :
on est 2 (minimum) a avoir un bac à la fin de l'année, donc il faut qu'on révise et on a moins de temps ...
mais me suis occupé de cette mission

Merci !

Désolé Gwindor. J'ai pas pu m'en occuper ce week-end. Je pense que je pourrai te poster une correction entre midi et 2.

stop ! pas la peine averell, j'en ai discuté avec lui sur msn, il a eut une coorection en privé pck c'est pas finit

OK. Merci Loki.

J'ai plus d'inspiration, ces trop long !

bof, prends ton temps, je te le reprocherais pas si tu le rend dans 3 mois

Je commence mes examens lundi, donc je passerai surement pas avant mardi dans deux semaines !

Je recommence d'écrire !

Depuis quatre jours nous sommes rentré des plaines du Rhûn, les pertes sont immenses, la plupart des lanceurs de hache et les quelques archers de Dale s'en sont sorti, une dizaine de phalanges et quatre gardiens sont vivant. Pour les elfes, sur les onze parti, plus que trois sont vivant. Des chefs de l'armée, moi et les deux autres sont vivant; seul Arafinwë est gravement blessé, mais d'après les médecins il s'en remettra; son message pour le Roi Daïn attendra. Mais après tous ces malheures, Daïn est tout de même fier de nous. Il nous tous félicité et à envoyer une épée en mithril à Netzphir pour avoir tenu l'alliance entre nos deux peuples. Quand à moi, je m'en sors plus que bien, le Roi d'Erebor ma fait monter de grade, me voilà caporal en chef, et cinquante nains m'accompagne à présent !

Mais les temps de réjouissance sont bientôt fini, un messager venu de terre lointaine propose une alliance au nains de l'Erebor. Cette hommes, un hommes du Gondor précisément à entendu parler de nous dans les veilles légendes, et ils nous demandent de l'aide. D'après lui une armée imposante d'orques et de trolls sont en marche vers une de leurs place forte. Les hommes sont en guerre partout dans leur royaume et aucune aide ne peut leurs venir. Ils ont donc pensez à nous ! Daïn a accepté et bien sûr cette mission ma été confié, à quoi pense ces fous, ils nous faudrais plus ou moins quatre semaine pour arrivé là-bas. Leurs fort serait sûrement déjà pris entre temps. D'après l'homme nous avons cinq semaines, car les rôdeurs font bien leurs travail et les retiennes en Ithilien. Le calme est souvent troublé par des étrangers !

Mais hommes sont heureux, enfin étaient heureux car quand ils ont appris le nombre de lieu à parcourir, ils y'en a plus d'un qui à protester ! Mais pour finir nous nous sommes mis d'accord et après des heures de préparation, nous sommes fin prêt pour le voyage. Nos familles nous saluent devant la porte du château, et après quelques signes de mains, nous nous dirigeons vers le Gondor, le messager à mes côtés pour me montrer le chemin. Après une heure, nous arrivons à Dale, nous décidons de traverser la ville pour allez plus vite, mais à peine sommes nous arriver à l'entrée que nous sommes accueilli par le capitaine Netzephir et cinquante archers; avec joie je me dirige vers mon amis et je l'interpelle :

"Capitaine, que faites vous là? Vous êtes du voyage peut-être"

"C'est avec plaisir que nous nous joignons à vous, grâce à notre dernière mission nos terres sont en sécurité pour un long moment. Mon Roi Brand nous envoie en remerciement à ce beau présent"

Le capitaine me montre la magnifique lame qui pend maintenant à son côté droit, et c'est dans la joie que nous traversons Dale. Nous voilà aux nombres de cent !

Dale n'est déjà plus qu'un point derrière nous, nous marchons depuis plusieurs heures, nous nous arrêtons à la moitié du chemin d'Esgargoth et montons le camp pour cette nuit. Après un bon souper, la plupart des hommes se dirigent vers leurs tentes, mais moi, Netzephir et le messager du Gondor nous attardons au feu où nous discutons de la futur bataille :

"Ils sont très nombreux d'après les rôdeurs, plus de huit cent guerriers orques et peut-être dix trolls ou même plus d'ailleurs. Dans la forteresse nous ne sommes que trois cent cinquante, cent cinquante archers, cent cinquante guerriers et cinquante cavaliers. Même avec les hommes présent ici, nous sommes en nombre très inférieur comparé à eux; à peine quatre cent cinquante !" Le messager parle d'une voix sans espoir, presque morte.

"Est la forteresse est elle puissante?" Que je lui demande.

"Ce n'est pas une gloire, mais elle peut tenir un long siège. Elle est carré, une seule porte, elle est en acier, les murs sont épais et deux archers peuvent marchés de front dessus. Je suis pose que les remparts pourrait contenir deux cent cinquante archers. En bref y'a un peu d'espoir que nous gagnons !"

Sur ces derniers mots nous nous dirigeons vers nos tentes, où nous réfléchissons au sort que nous réservera cette bataille.

Depuis un quatre jours nous marchons, la ville du lac est déjà passé et au loin ont aperçois la forêt noire. Seulement la penser de retraverser cette maudite forêt me donne des frissons, plus que trois semaines de voyage. Nous franchissons le sentier, directement nous sommes à moitié plongé dans le noir. La puanteur règne au coeur de c'est bois, nous sommes serré les un contre les autres. Les nuits, ou les journées ont ne sauraient le dirent s'enchaîne, nous avons déjà franchi la rivière noir, plus que trois jours. La nuit de ce jour nous sommes attaquer par un groupe d'araignées, nous les repoussons avec quelques peine, c'est juste grâce à leurs yeux brillant que nous les repoussons. Après deux autres pénible jours, nous voyons enfin la lumière, heureux nous courrons dehors !

Pendant plusieurs jours nous marchons vers la maison de Beorn, l'homme ours ! Mais après avoir rencontré quelques voyageurs ceux-ci nous déconseille de continuer par là. Nous choisissons donc de passer par tout la longueur des mont brumeux le seule chemin. Le premier jours est épuisant, les autres sont pires, mais après deux semaines de dures labeurs nous arrivons à la forêt de Lorien, où nous ne restons que un jours pour prendre du repos et reconstituer nos vivres. Nous traversons le pays du Rohan où nous sommes arrêter par un capitaine qui se fait appeler Nim scarfel. Après un long interrogatoire, il nous laisse traverser en ligne droite les plaines du Rohan.

Nous avons franchi l'Emyn-Muil, et nous marchons en position de guerre vers la forteresse, au loin, nous voyons déjà s'élever la fumée de la guerre. Cent hommes et nains marche derrière nous, le temps passe, nous arrivons au terme de notre voyage, nous marchons jusqu'au dessus d'un colline et là à l'effroi de tous nous voyons un petit château assiéger par les orques. De où nous sommes, nous voyons les trolls qui tentent par tous les moyens de faire effondrer la porte, appuyer par des catapultes et des béliers. Nous voyons des formes se mouver sur les remparts, les archers du Gondor lutte du mieux qu'ils le peuvent, le reste des troupes doivent être derrière les portes. Directement j'ordonne de contourner les troupes, les catapultes ne sont gardé que par un quarantaine d'orques; j'envoie nos troupes, les orques sont plongé dans leurs batailles, et ne comprenne pas la suite des action. Cinquante flèche et quinze hachette s'envolent vers leurs direction, aucun survivants, les autres orques sont absorbé par les archers ennemis et ne nous voient pas, je pense que sans cette intervention, nous ne serons pas là pour le raconter.

Dix de mes guerriers nains reprenne le contrôle des machines et les positionne vers les archers ennemis, je place mes troupe en ordre de bataille, les catapultes sont chargés, et les haches sorti, les flèches encoché et je lance le signal, les rochers des catapultes s'écrasent dans les troupes ennemi pour de bon résultat, les flèches volent, et par trois fois nos actes sont répète, cent cinquante guerriers orques, cinquante archers et deux trolls change de position et nous charges, aussitôt une volée de flèche s'abat sur les trolls, seulement un tombe et avant que les archers ai le temps de recharger, le troll est sur nous. Cette lutte commence, nous sommes à cent contre deux cent, la bataille va être rude ! J'ordonne aux piquiers de tenir le troll à distance, les archers s'occupe des archers ennemis et nous, à trente cinq contre cent cinquante guerriers orques.

Ma hache est rouge du sang de mes ennemi, mais nous avons bon résister, nous ne tiendrons plus longtemps. Un orque se jette sur moi, son épée s'entrechoque sur la hache, d'un geste de poignet je désarme mon ennemi, d'un balayage je le met à terre. Je levé ma hache est abat le monstre, nous ne sommes plus que quelques gardiens, les piquiers contre le troll et des orques sont mort, mais pour de lourde perte pour l'ennemi. Les archers de Dale en ont fini contre les autres archers, et nous rejoignent avec des dagues, je fait sonner du cor et pour donner du courage aux troupes je crie :

"Mes amis, le temps est venu pour nous de quitter ce monde. Mais pour le quitter, autant emporter c'est puant avec nous ! Sonnez vos cor, et montrez à c'est chien de Mordor quesque c'est que les hommes et les nains d'Erebor !"

Sur ce dernier mot je m'élance dans la bataille, mais avant que je n'ai pu atteindre les premiers orques, je vois déferler d'une colline des cavaliers. Leurs charge est un miracle venu des dieux, les orques tombe à terre, transpercer par les lances des cavaliers. Avec ce dernier évènement en tête nous les rejoignons, les orques sont serré, ils ne sont plus qu'un cinquantaine. Le troll se dirige vers les cavaliers, mais il va payer avant pour mes piquiers et tous les autres morts. Le capitaine de Dale me suis, sont épée en mithril dans sa main et nous nous dirigeons vers le troll, nous l'avons bien vite rattraper, mais lui nous à remarquer dans la foule et nous fonce dessus. Il lève sont gourdin et tante de me faucher, mais je m'abaisse au dernier moment, le capitaine est sur lui et le distrait. Je me place derrière le troll, le capitaine la touché à la jambe il s'abaisse, je saute sur l'occasion et grimpe sur le dos du troll, par quatre fois je frappe sur le crane du troll, et le cinquième coup son crane s'ouvre et le sang gicle partout.

Nous avons remporté la bataille, mais à de lourde perte, il reste toujours des orques et aux moins huit trolls. Le chef des cavaliers m'explique pourquoi ils sont là, ils sont sorti quelques heures avant la bataille, pensent pouvoir les prendre à revers, mais en voyant leurs nombre, cela aurait sûrement été signe de massacre. Ils m'explique qu'ils y'a encore plus de deux cent hommes dans la forteresse, et ici nous comptons combien nous sommes, nous sommes quatre vingt six, deux cent quatre vingt six contre plus où moins deux cent cinquante guerriers orques, cent archers, et huit trolls. Cette fois il y'a chance de victoire pour nous ! Les orques sont pris entre deux camps.

Les orques se sont reculé de la forteresse, craignant les flèches des archers et ils sont entre nous ! Nous préparons l'assaut finale, vingt cinq cavaliers, quarante archers, vingt gardiens. Les troupes sont en place, les orques quand à eux on décide de se débarrasser de nous avec septante guerriers orques, cinquante archers et deux trolls, cent trente deux contre quatre vingt six ! Les cavaliers chargerons après les gardiens, les gardiens quand à eux attaquerons après que les archers est envoyé deux volée de quarante flèches chacune ! Nous espérons qu'avec la chance des dieux sur quatre vingt flèches, septante toucherons au moins leur cible. Le capitaine et moi nous sommes à l'avant des troupes, d'un regard nous nous mettons d'accord, un troll chacun.

Je regarde nos troupes, je vois dans leur yeux la peur, la haine et la volonté de gagner. Je n'arrive qu'à leur dire que j'aurai fais tout pour leur épargner ce destin, mais cela ce n'est pas moi qui le décide ! Je me retourne vers les orques, mais je ne vois que s'avancer une dizaine d'entre eux, suivi des deux trolls, un orque m'interpelle :

" Toi, tu te crois si puissant, et l'autre, là ce capitaine des hommes aussi, mais pourrai vous vaincre ces deux bêtes? Je suis pose que non, mais qui tante rien na rien ! Après tous vous êtes des nains et des hommes, que de la vermine. "

" Je relevé le défi puant, si nous gagnons toi et tes sales orques dégagerons d'ici et s'en retournerons au Mordor, je ne demande que sa ! "

L'orque orgueilleux, ne pouvait que accepter, après tout ces deux prétentieux ne pouraient vaincre les trolls !

" D'accord, Krakjshank envoie les bêtes ! "

Les deux colosses levèrent leur gourdins, ils viennent vers nous. Je prend celui à gauche, et Netzephir celui de droite ! Le troll arrive sur moi, d'un coup horizontale tante de me faucher, je saute en arrière et contre-attaque aussitôt, le seul problème ces que je ne peu approcher la bête, à peine que j'avance qu'il me projette au loin. Après avoir compris que ma hache est inutile, je sort un hachette la lança sur le troll, elle le touche au ventre le monstre hurle, mais ne baisse pas sa garde, après m'avoir attaquer avec puissance, je décide d'en finir, je reprend ma hache et je cours vers lui, je la lève, il tente de m'écraser mais j'esquive, et je plante ma hache dans son ventre, cette fois j'ai toucher l'estomac, qui coule par terre, les boyaux et toute les autre saloperies ! Avec une dernière bouffé de vie, le troll me fauche avec sa masse, je sens que je vole et que je tombe brutalement sur le sol, ces ma dernière penser !

Correction !

longueur : 16
ortho : 14
vocabulaire : 15
réalisme : 14
action 18

je préfère me reserver cette correction :

action : 16
réalisme : 18
longueur : 16
ortho : 10
vocabulaire : 15

Commentaires :
-ton duel contre l'orc est beaucoup trop rapide, il y aurait eut moyen de faire bien plus long
-"les rochers des catapultes s'écrasent dans les troupes ennemi pour de bon résultat" : exemple de phrase mal tournée, tu aurais pu mettre : "Les catapultes envois de lourds rochers qui s'élèvent dans le ciel, et retombe au milieu des rangs ennemis, en tuant un bon nombre"
-les dialogues, au lieu de sauter une ligne et d'ouvrir les guillemets, fait plutot un retour à la ligne avec un tiret, et pour savoir qui parle, mets des virgules :
exemple : ""Et la forteresse est elle puissante?" Que je lui demande."
=>-La forteresse est-elle puissantes ? lui demandé-je.


Voili voilou.
Tu gagne 1500 or et tu ne monte pas en grade (c'est première mission en tant que caporal chef)

Merci, enfaite je prefere quand loki me corrige et me done des missions,sais par preference je suis habiteru que ce sois lui qui le fassent !

New mission :

Jamais Daïn Pieds d'acier n'aurait pu imaginer que l'Isengard arrive jusqu'à lui. En effet, un post avancé a été construit. Daïn t'envoi le détruire.

Bien : -toi et tes hommes
-50 guerriers nains
-50 lanceurs de haches nains

Mal : -80 guerriers ourouks
-50 arbaletriers ourouks
-20 chevaucheurs de ouargues ourouks
+un camp entouré d'une haute palissade en bois.

Y'a une porte ou juste palisade?

jolie mission