Le Régiment libre

J'ai pompé quelques trucs à diverses sources (principalement d'un bouquin que je lit en ce momment et que j'adorre). Je metterais en note ce que j'ai pompé.

Le soleil est une boule rouge au dessus des montagnes. Ses rayons traversent encore la brume et éclaire la vallée. On discerne à peine les montagnes au dessus desquelles il est suspendu. Plus proche, on aperçoit les villages de paysans. Rares sont ceux qui disposent de murs d’enceintes. Un groupe de cavaliers galope à travers les champs. Ils se dirigent vers l’un de ces villages fortifiés. Seulement deux tours aux murs, et une au cœur même. La porte est de bois. Assez grande, elle permet le passage de grands chariots. Les cavaliers sont une cinquantaine. Ils portent de simples armures de mailles par-dessus lesquelles pendent de grandes capes écarlates. De longues épées sont visibles au flanc de leur chevaux, mais aucun n’a de boucliers ni de lances. Seuls deux d’entre eux sont équipés différemment. Le plus visible porte une bannière, haute est remarquable. Sur un fond du même écarlate que les capes est représentée en blanc une colline au-dessus de laquelle un soleil majestueux domine. Cet étendard est connu de toute cette contré, c’est celui du Régiment Libre. Ces cavaliers sont les plus puissants de toute l’armée. On dit qu’ils ne connaissent pas la peur, ni la défaite. Ils devraient être à la grande forteresse, à Teldranan. Alors que font-ils ici ? Et pourquoi ce régiment normalement composé de six cents hommes n’est aujourd’hui constitué que d’un cinquantaine de soldats ?
La troupe avance à travers les champs. Le deuxième cavalier reconnaissable est Nim Sparfel, le capitaine du régiment Libre. Son cheval porte un casque très spécial. Une longue pointe d’acier se dresse sur son front, donnant l’impression qu’il s’agit d’une Licorne. Son épée a été forgée par des nains des Montagnes de Ketendras, la meilleure des mines. Le mithril dont elle est faite est de la meilleure qualité. Le pommeau est long et son extrémité représente un visage de femme. Bien qu’étant naine, sa lame est longue et l’extrémité est légèrement recourbée. Il l'a reçu en héritage de son père, mort au combat lorsqu’il avait à peine 10 ans. Sa cape écarlate est bordée de fourrure blanche, dont on dit qu’il s’agit de fourrure de loup blanc du nord, des animaux maléfiques, qu’il aurait tué lui-même lorsqu’il avait 17 ans. Lorsqu’on le regarde de plus près, on lui remarque des caractéristiques raciale particulière : ses oreilles sont légèrement pointues, et ses sourcils sont inclinés vers le bas, il ressemble à un elfe. En effet, si que son père était un homme de la garde d’élite de Teldranan - la Garde Noire -, sa mère est une elfe des forêts Linianel, les plus belles forêts des elfes. On dit de Nim qu’il est le meilleur bretteur de l’armée, et qu’il n’a pas son pareil, chez les hommes du moins, au tir à l’arc.
Le soleil a disparu derrière les montagnes, mais la vallée est toujours lumineuse, malgré la brume venant des hauteurs qui y progresse. Les cavaliers distinguent Niederehnheim*, leur destination. L’obscurité gagne petit à petit la plaine, mais pourtant aucune lumière n’émane du petit village, ni d’aucune des tours de garde du rempart ou de la tour du Cimetière**. Les soldats sont assez proches et devraient pouvoir distinguer les gardes malgré la nuit et la brume. Même le capitaine, dont la vue est légendaire dans son régiment (sûrement à cause de son sang elfe), ne peut voir personne. La porte est fermée. La troupe s’arrête devant. On n’entend aucun bruit, si ce n’est le souffle d’un léger vent d’ouest. Nim Sparfel appelle le village. Il demande qu’on vienne leur ouvrir, mais personne ne répond, et on ne voit toujours personne.
-Nous arrivons trop tard ! s’exclame l’un des soldats, les démons nous ont dépassés ! Partons, avant qu’ils ne nous tombent dessus.
-Capitaine, dit un autre, Flick a raison. Nous ne devrions pas nous attarder ici. Retournons vite prévenir le Seigneur à Teldranan.
-Il faut que nous rentrions dans le village, répond Nim Sparfel. Il faut que nous voyions ce qui est arrivé. Ce ne sont peut-être pas les démons…
-Que voulez-vous que ce soit d’autre ? C’est pour ça que nous sommes venu non ? Pour prévenir les habitants de la menace, et je…
-Ca suffit ! coupe Nim. Trouvez le moyen d’ouvrir cette porte, quitte à l’enfoncer. Nos ordres sont claires, nous devons entrer faire une reconnaissance. Suivant la situation, j’aviserai.
Sur ces mots, des hommes descendent de cheval et examinent la portent. Puis partent et reviennent cinq minutes plus tard avec un tronc d’arbre pris d’un tas à une vingtaine de mètres, et commence à attaquer la porte avec. Celle-ci s’ouvre avec un bruit de tonnerre. Nim entre, et voit au bout d’une rue surgir une ombre se déplaçant vivement pour disparaître aussitôt.


*Aujourd’hui Niedernai, le village où j’habite ; c’est en rentrant en vélo du coiffeur par un temps comparable que j’ai imaginé toute cette histoire… à propos d’histoire, voici celle du plus beau village de France (évidement, puisque c’est le mien…) :
Niederehnheim appartenait, dès 1200, à la famille noble de Landsberg qui le donna en fief en 1284 à l'évêque de Strasbourg. En 1444, le dauphin de France (le futur Louis XI) s'en empara à la tête des Armagnacs, mais il en fut chassé par les Strasbourgeois.
Pendant la guerre de trente ans, Niederehnheim eut beaucoup à souffrir et fut souvent saccagée. En 1681, la noblesse de Basse-Alsace y fut contrainte de prêter serment d'allégeance au roi de France.

**La fierté du village, le tour qui permet de le reconnaître quand on arrive de strasbourg. Elle a été construite vers le XV° siècle (il me semble), et se trouve, comme son nom l’indique, à côté du cimetière.


choses pompées : -régiments libre, c'est le nom d'un régiment de cavaliers dans mon bouquin, bien que dans celui-ci, le régiment libre n'ai pas la même histoire (c'est un régiment suicide dans le bouquin)
-Nim Sparfel : c'est le pseudo d'un gars très sympa de mon forum (en lien sur mon profil, mais il est mort, le forum hein, pas le gars!)
-Niedernehnheim, ça c'est expliqué
-la tour du cimetière, idem
-Teldranan, inspiré de Teldrassil
-la Garde noire : deux sources : mon bouquin (et oui, toujours lui), ce sont les gardent d'élite du palais d'Evetine, et aussi Warhammer, les Garde Noirs de Naggarond, les soldats de la garde de Malékith (je fais une armé d'elfes noirs )

C'est une histoire très intéressante et le style est génial ! Bravo ! Vivement la suite !

C'est pas mal. Le texte en lui-même est bien court malheuresement. Ton héros à l'air un peu d'un gars-super-fort-de-la-mort-qui-tue. Sinon, bah, court pour juger vraiment.

Et sinon, quel est le titre de ton livre? Régiment suicide, ça me plait comme tactique de combat

Tes nouveau ici Dager tu viens de JV.com?

La vision se trouble. Le miroir ne peut en montrer plus. Eventine se recule d’un pas. La tournure des choses se concrétise. Il sort de la cabane de bois blanc et appelle son garde du corps.
-Adrolien, dit-il, prépare les Chasseurs du Ciel, qu’il parte aussi vite que possible. Une bataille a déjà eut lieu, et des centaines d’hommes sont morts. Que le reste de l’armée se tienne près à partir demain pour Taldranan.
-Immédiatement mon Seigneur, répond le garde.
Eventine est de haute taille, les épaules larges, ses muscles peu voyants mais entretenus. Sa bouche est parfaitement symétrique et de taille moyenne. Ses longs cheveux blonds tombent sur ses épaules et cachent ses oreilles pointues. La couleur bleue de ses yeux est accentuée par ses sourcils blonds inclinés. Entre deux âges, il parait tout de même assez jeune. Pourtant il se sent vieux. Son fils, l’héritier du trône, a déjà quinze ans et sa fille est âgée de dix-neuf ans. Il aime son peuple, son pays, et il est aimé en retour. La nature lui offre la nourriture et le bois pour la cité elfique, Dolanian, la capitale des elfes. La ville blanche est située au cœur des forêts de Linianel. Après une réflexion de plusieurs minutes sur ce qu’il allait faire et se que cela impliquait, Eventine part vers le palais. Pendant son chemin, de grands aigles s’envolèrent vers l’ouest, vers les territoires des hommes.

Le capitaine Nim Sparfel, toujours intrigué par cette ombre, entre dans le village avec une quinzaine d’hommes, ayant ordonné aux autres d’attendre à l’extérieur. L’obscurité est maintenant bien installée, les cavaliers allument de torches. Rien ne bouge dans le village. Le groupe avance lentement, examinant de loin les maisons des deux côtés de la rue. Il n’y a aucune trace des habitants, pas même une empreinte. Les portes et les volets sont fermés. Des charrettes sont stationnées à quelques endroits. Il n’y a pas âme qui vive, pas même un cheval ou un rat. Nim avance en tête. Il se dirige vers l’endroit où il a vu surgir l’ombre. Rien, pas de traces du passage de cette chose. Il regarde attentivement à l’endroit où elle a disparu. C’est alors qu’il perçoit un nouveau mouvement sur sa gauche. Aussitôt il se retourne et court vers la cour d’une maison, d’où le mouvement provenait. C’est alors qu’il entendit un cri dans son dos. Il voit un de ses soldats à terre, l’épaule ensanglantée et paraissant un peu sonné.
-Ca va ? questionne Nim. Qu’est-ce qui c’est passé ?
-Je… je ne sais pas… répond le soldat. Il place sa main sur son épaule et découvre l'abondance de sang.
-Tralder, va l’aider ! ordonne le semi elfe. Panse sa plait et fait-le sortir du village.
-J’y vais, lui répond-t-il.
-La… l’armure… les mailles ont été coupé ! dit le blessé, horrifié. Rien ne… comment est-ce possible ?
-Les démons ! hurle un autre, terrifié à l’idée d’avoir à nouveau à les affronter.
Aussitôt des formes noires jaillissent de tous les côtés et s’élancent vers les soldats aux capes écarlates. Immédiatement, ceux-ci s’élance vers la grande porte au triple galop, et cirent aux cavaliers qui attendent dehors de monter en selle et de partir. Sans se faire prier, et sans que Nim n’ai à donner d’ordre, la troupe s’est élancée dans la plaine, galopant aussi vite que les chevaux le leur permettaient. Mais les démons étaient derrière eux, et tous le savaient. La cavalerie s’est élancée vers le nord-est, des formes noires sur les talons.
Les êtres qui les suivent se déplacent à quatre pattes pour aller vite, mais pouvent aussi se tenir debout sur leur pattes arrières. Ils ressemblent à de grands chiens nord au visage humains, avec des dent pointus, des poils courts et noirs sur tout le corps, et des yeux couleur de feu, brillant de la même façon, avec une haine perceptible de tout les êtres vivant. Les animaux que ces monstres croisent se terrent le plus profondément possible, ou s’enfuient le plus vite qu’il leur est possible. La vitesse que les démons atteignent est incroyable. Même les meilleurs chevaux de toute la contrée ne parviennent à les distancer. Dès qu’un cavalier passe à la porté d’une des créature, celle-ci se propulse à l’aide de ses pattes arrière, et sort des ses pattes avant de longues griffes affûtées, capable de trancher n’importe quoi, même le métal des armures de mailles des soldats du régiment libre, et déchiquette sa proie avec une violence sans pareil. Comment de simples hommes pourraient espérer affronter de tels êtres ?
Conscient qu’ils ne distancent pas les démons, le capitaine Nim décide d’un changement de plan. Il s’arrête soudainement, se retourne en dégainant sa longue lame de mithril, le plus résistant des métaux, que même les griffes de ces créatures ne pourraient esquinter, et charge ses adverse avec sa détermination légendaire. Aussitôt, toute sa troupe en fait de même. On dit qu’il n’y a rien de plus beau au monde que d’assister à une charge du régiment Libre, car les chevaux ne s’arrêtent jamais, et que jusqu’à lors, rien n’y a jamais résister. Ainsi, cinquante cavaliers hurlent à la mort en avançant à toute vitesse vers une horde d’une centaine de créatures maléfiques, animées d’une haine incompréhensible d’un homme. Les démons surpris ralentissent, mais n’arrêtent pas d’avancer. Déjà, les cavaliers sont sur eux. Si les démons sont très efficaces lorsqu’ils attaquent par surprise ou par derrière, les cavaliers écarlates le sont lorsqu’ils chargent de front. Des épées aux reflets argentés s’abaissent, faisant gicler du sang noir sur une terre auparavant si pure. En moins de dix secondes, les chevaux surgissent de l’autre côté du groupe de créatures. Celui-ci a perdu au cour de cette charge les deux tiers de ses effectifs. Du côté des cavaliers, pas un n’est tombé. De telles créatures ne sachant comment briser une charge. Nim retourne une nouvelle fois son cheval, et s’élance dans une nouvelle charge, suivit de ses hommes.
Les cavaliers du capitaine Nim Sparfel avancent au trot au bord du bois de Cormery. Il y a eut trois blessés et deux tués dans leurs rangs ce soir, mais cent ennemis ont été éliminés. C’est alors que des cris stridents surgissent de la forêt, des formes noires avancent rapidement vers eux. Nim reconnaît immédiatement ces yeux enflammés et cette rage qui s’y lit. Sans plus attendre, il ordonne de fuir au grand galop. Après cinq minutes de courses, les démons sont sur leurs talons, mais ce ne sont plus une centaine de démons, mais un millier ! Une charge à travers ça serait du suicide, même pour le régiment Libre. Les chevaux, bien que motivé par la peur de ces créatures, ralentissent, la fatigue prenant le dessus sur l’instinct de survie, les démons se rapprochent de plus en plus. Deux cavaliers à l’arrière viennent d’être fauchés. Pour les cavaliers, tout semble perdu. C’est alors qu’une flamme bleue venant du ciel atteint la horde de démons. Tous regardent alors en l’air et voient une nuée d’aigles énormes venant dans leur direction, des éclairs et des flammes bleues ou vertes jaillissent et frappent les démons, qui rapidement se dispersent et s’enfuient dans la forêt obscure. Nim Sparfel arrête ses cavaliers, et attend l’arrivé de leurs mystérieux sauveurs ailés.

trucs pompés :-Cormery : lire "le premier homme" de Camus (il est nul ce bouquin!), c'est le nom du personnage principal
-Eventine : le roi des elfes dans mon bouquin (et ici aussi)

ta fait une faute ^^

ses cavaliers, et atteint l’arrivé de leurs mystérieux sauveurs ailés

atteint? attend?

attend... grrrr

Pas qu'une


-La… l’armure… les mailles ont été coupé ! dit le blessé, horrifié.
Coupées.

Immédiatement, ceux-ci s’élance vers la grande porte au triple galop, et cirent aux cavaliers qui attendent dehors de monter en selle et de partir.
Crient.

"sans que Nim n’ai à donner d’ordre"
Ordres.

"mais pouvent aussi se tenir debout sur leur pattes arrières."
Peuvent.

"Ils ressemblent à de grands chiens nord"
Nord? Tu voulais peut-être dire noir?

"avec des dent pointus"
Dents

"Les animaux que ces monstres croisent se terrent le plus profondément possible, ou s’enfuient le plus vite qu’il leur est possible."
Répétition de possible.

"et charge ses adverse avec sa détermination légendaire."
Adversaires, ou créatures adverse -quoique cela fasse lourd.

"des éclairs et des flammes bleues ou vertes jaillissent"
Bleus ou verts. Eclairs étant masculins, les adjectifs le sont également.

Sinon, il y a quelques lourdeurs ou tournures maladroite, mais c'est pas mal, vraiment pas mal. La suite?

t'aurait aussi pu corriger le pointus par pointues...

tu peux me dire ton age stp, pck je me sens jeune tout à coup...

Ah oui, j'avais pas vus, désolé


J'ai 13 ans^^
Mais peut-être le fait que j'écris assez régulièrement depuis 2 ans(bon, ok, 1 ans 3/4 ) m'avantage un peu.

lOl moi j'ai 13 je fait beuacoup de faute lol

13 ans?!
franchement, on croirais plus...
je ne me sens plus jeune, mais con maintenant...


nan, quand même pas con, mais je dois dire que je suis épaté la!

Je me permettrais juste d'apporter une petite correction à ta propre correction Dager. Dans la phrase "sans que Nim n’ai à donner d’ordre", Loki avait raison de ne pas mettre de "s" à ordre puisque si Nim n'en donne pas, il n'y a aucun ordre, il avait donc raison de le mettre au singulier. Quoique, il me semble qu'on peut peut-être mettre soit l'un soit l'autre... Toujours est-il que Loki n'a pas fait de faute sur ce mot. Par contre, dans cette même phrase, l'emploi du subjonctif pour le verbe avoir s'impose... Il faut donc ajouter un "t", "sans que Nim n'ait à donner d'ordre"...

lOl pauvre loki tout le monde viesn le percecuter! ^^ lol

j'ai envi de me pendre...

Ouh la la, ne fais pas ça... Je ne veux pas avoir ta mort sur la conscience... En plus, je m'en voudrais d'avoir tué l'inventeur très talentueux de ce forum... Quelle perte pour l'humanité ! Sans parler des autres qualités de cet être exceptionnel !

j'ai repéré une faute de ta part

Citation :

"des éclairs et des flammes bleues ou vertes jaillissent"
Bleus ou verts. Eclairs étant masculins, les adjectifs le sont également.

on accorde bleu et vert avec le dernier mot, icic en l'occurence flammes, donc j'avais juste!

lOl on s'en fous de faut faute lOl, mes nous la suite ces lu plus important pour nous ^^

Loki l'Admin a écrit:

j'ai repéré une faute de ta part

Citation :

"des éclairs et des flammes bleues ou vertes jaillissent"
Bleus ou verts. Eclairs étant masculins, les adjectifs le sont également.

on accorde bleu et vert avec le dernier mot, icic en l'occurence flammes, donc j'avais juste!

Tu as vu ça où?
Le masculin prône sur le féminin, c'est ce que j'ai toujours apprit, et j'ai toujours vu ça dans les livres. Ca m'étonne. Enfin, la suite!

Ouai le suite !

Voici la suite :

je vous dis juste que la fin de cette partie et déjà ecrite, mais je ne la poste pas parcequ'elle est mal ecrite, et que je veux la remanier avant de la poster. C'est aussi le dernière partie que j'ai écrite, et que la suite mettra du temps à venir...

Un soleil pâle se lève lentement sur la cité elfique de Dolanian. Eventine monte sur son cheval, et part au pas vers la grande place de la ville, suivit de sa garde, les Soldats d’Or. Arrivé au bord, il découvre des milliers de soldats, en rangs, armés, droits, ils attendent leur Roi. Le commandant de l’armée sort des rangs des cavaliers et s’approche de lui.
-Mon seigneur, dit-il. L’armée est prête. Nous pouvons partir vers les cités des hommes.
-L’armée est prête… répète-t-il. Très bien, marchons vers Teldranan ! En avant soldats !
Aussitôt, huit milles fantassins, portant des épées, des lances ou des hallebardes, trois mille archer, équipés d’arcs en bois d’Itrilen, un bois à la fois très souple, mais aussi quasiment incassable, travaillé longuement par les meilleurs artisan de toute la forêt, et deux mille cinq cent cavaliers, portant tous une longue lances et un bouclier, ainsi qu’une épée accrochée sur le flanc de leurs chevaux, partent vers l’immense porte de la citée. L’armée est commandée par le Roi Eventine, le plus grand roi des elfes depuis cinq cent ans. Il est secondé du Commandant Arion, chef de la cavalerie, et du Commandant Leah, le meilleur archer de toute la ville et de ses forêts. Arion est un peu plus âgée qu’Eventine, et est un très habile stratège. Toujours à la tête de ses cavaliers lors des batailles, il manie aussi bien la lance que l’épée. Son cheval est toujours le premier au milieu des rangs ennemis, et sa lance est toujours la première à y causer la mort. Leah est assez étrangement un homme, et non un elfe. Il a été recueilli à la mort de ses parents par ce peuple, il avait onze ans. Son père adoptif était le cousin du père d’Eventine. Celui-ci a le même âge que lui, ils ont presque été élevés ensemble. Très tôt, alors qu’Eventine apprenait à gouverner un pays auprès de son père et à manier l’épée, Leah s’est passionné pour le tir à l’arc. Près de trois heures par jours voir parfois quatre, il décochait des flèches jusqu’à la mort du roi, lorsqu’Eventine a remplacé son père. Le nouveau roi lui a alors demander d’être commandant de l’armée, et plus précisément de l’archerie. Leah a aussitôt accepté, et a cessé de s’entraîner trois heures par jours, mais est passé à six, et dès lors il passait le reste de son temps avec ses troupes, pour apprendre à les connaître, ainsi en sachant leurs atouts et leurs défauts, il peut les diriger efficacement.

-Merci de nous avoir secouru, elfes, dit Nim Sparfel.
-Notre roi, Eventine, nous a envoyer vous aider, répond un elfe de grande taille, descendant de sa monture. Il a vu quel danger menace la terre.
Les elfes sont venus à dos d’aigles immenses : l’envergure de leur ailes doit faire huit mètres au moins. Leurs cavaliers sont équipés d’armures légères en cuir doré. Ils portent une longue dague dans leur dos, un arc avec les flèches, et un bâton de taille et de couleurs variantes suivant les elfes, desquels jaillissaient les éclairs dévastateurs.
-Je suis Aldratien, reprend l’elfe, capitaine des Chasseurs Ailés, les chevaucheurs d’aigles. Le roi a vu ce qui se passait à l’ouest. Dès votre première bataille contre les démons, il a préparé l’armée. Il nous a envoyer les premiers pour bous permettre de rejoindre Teldranan afin que vous puissiez faire votre rapport à votre roi. L’invasion des démons concerne toute la terre. Eventine a déjà envoyé des émissaires aux nains, aux elfes d’Ilthiran, et même aux orques et aux gobelins.
Les autres elfes sont descendus de leurs aigles, et s’approchent en rang des quarante soldats du régiment libre encore en vie. Le capitaine Nim Sparfel parait très surpris par la déclaration des elfes. Cela se comprend : ils ont combattus les démons pour la première fois trois jours auparavant, n’ont pas eut le temps de prévenir leur propre roi et l’armée des elfes est déjà en route, et les autres races sont sur le point d’être informés.
-Très bien, finit par dire Nim. Allons-y.
Aussitôt les elfes retournent à leurs montures et les cavaliers filent vers le nord est, en direction de Teldranan, la cité aux cinq murs. Les aigles s’envolent derrière eux et se place au dessus d’eux, pour les escorter. Deux partent devant pour éclairer le passage.
Après avoir voyager durant toute la journée, Nim décide de monter un camp pour la nuit. Les cavaliers s’arrêtent aux abords de la forêt de Shlipak. Les aigles se posent quelques minutes après. Les elfes leur détachent leurs harnais et les laissent libre de se déplacer. Les soldats du régiment libre en font de même avec leurs chevaux. Plusieurs tentes sont montées, mais Nim Sparfel décide de dormir à la belle étoile en compagnie des elfes. Ses soldats font des feux devant chaque tente et font griller leur portion de viande, tandis que les elfes sortent de leurs sacs un pain étrange très nourrissant, et à la fois assez bon. Nim s’installe à côté de Aldratien et dialogue avec lui. Il lui demande combien de troupes ont été envoyés de Dolanian, comment est le roi Eventine, est-il vraiment tel qu’on le décrit, sage et intelligent, doublé d’un guerrier redoutable, qui dirige l’armée avec lui, combien de temps leur faudra-t-il pour arriver à Teldranan... Tant de questions auxquelles le capitaine elfe répond à chaque fois avec une précision redoutable. Maintenant c’est le tour de l’elfe de poser des questions à Nim Sparfel. Il lui demande à quoi ressemble la forteresse et comment est le roi des hommes.

C'est bien, et avec encore moins de fautes.

"travaillé longuement par les meilleurs artisan de toute la forêt"
Travaillés, car tu parles des arcs. Artisans.

"portant tous une longue lances et un bouclier"
Lance

"il peut les diriger efficacement."
tu utilise l'imparfait, mais cette phrase est au présent. A changé.

"Ils portent une longue dague dans leur dos"
Leurs, sont pas siamois.

"Il nous a envoyer les premiers pour bous permettre"
Vous^^

"font griller leur portion de viande"
Leurs portions. A moins qu'il n'y en ai qu'une pour tout le monde

"Il lui demande combien de troupes ont été envoyés de Dolanian"
Envoyées.

Ca fait peu, bien que je ne les ai pas toute vues, sûrement. quelque phrase que tu peux améliorer

"partent vers l’immense porte de la citée."
Personnellement, j'aurai mis "se mettent en marche". Mais ce n'est que mon point de vue.

"et est un très habile stratège."
Ici, je supprimerai le "est".

"Toujours à la tête de ses cavaliers lors des batailles, il manie aussi bien la lance que l’épée. Son cheval est toujours le premier au milieu des rangs ennemis, et sa lance est toujours la première à y causer la mort."
Trosi fois toujours dans la même phrase. "Son cheval est le premier" "Sa lance est la première" Ferit mieux, quoique ici, répétition de premier. Mais c'est déjà bien plus fluide.

"Leah est assez étrangement un homme"
Le assez, je le trouve horrible, et pas nécessaire, mais ce n'est qu'une question de goût.

"et non un elfe."
Pas nécessaire non plus, c'est assez évident.

"Son père adoptif était le cousin du père d’Eventine."
Deux fois père.

"L’invasion des démons concerne toute la terre."
Nous concerne tous me semblerait le mieux. Mais ce n'est, encore une fois, qu'une question de goûts.

"et s’approchent en rang des quarante soldats du régiment libre encore en vie."
Quarantes(?). Et je pense que tu devrais mettre des majuscules au Régiment Libres, ceci étant un nom propre, au même titre que Eventine, Nim Sparfel et les Chasseurs Ailés.

"les autres races sont sur le point d’être informés."
Races= féminins=informées.

"Deux partent devant pour éclairer le passage. "
C'est moche. Pour repérer d'éventuels obstacles, serait bien plus harmonieux. Mais ce n'est, encore une fois, que mon avis.

"Les elfes leur détachent leurs harnais"
Pas beau. Et deux fois leur. Les libèrent de leurs harnais

"un pain étrange très nourrissant, et à la fois assez bon."
Toutefois assez bon me semble plus fluide.

Et tu répètes très souvent elfes.
Malgré les apparences, j'aime bien ton texte, et mes conseils sont pas là pour te décourager, mais pour t'aider à t'améliorer.

Nous attendons la suite

Super vivement la BATAILLE sa va chier! Mais j'éspere que les nains seront de la partie... on les rejete tous le temp alors qu'il dechire!

lool dispute d'orthographe ici ^^ lol quel age a tu Dager ?

13 ans

Ouai dager il a pas13 ans il a 20 ans lol

haha!! je proteste dager!! tout mon récit est au présent!! donc une des fautes que tu as relevée n'est pas valables, de plus "quarante" ne prend pas de s!

dager est parti il semble ...zut il faut un type pareil ici ! il a 3 ans

un psygopathe?

Dommage ki poste pas des histoires